Droits de l’homme : le Congo réitère sa volonté de garantir les droits des citoyens

Une conférence-débat a été organisée à cet effet, patronnée par le ministre de la Justice, des Droits humains et de la Promotion des peuples autochtones, Pierre Mabiala, en présence des responsables du système des Nations-unies au Congo, des ONG et associations des droits de l’homme.

Quelque cinq thèmes bien ciblés ont été au cours de cet échange interactif, animés par des experts en la matière.

Au nombre de ces thèmes développés, on peut noter : la déclaration universelle des droits de l’homme, 68 ans après ; les Nations unies et les droits de l’homme ; la société civile et la protection des droits de l’homme au Congo.

Un autre thème aussi important, « La garantie des droits de l’homme au Congo », développé par le directeur général des droits et des libertés fondamentales, Philippe Ongagna, a permis d’édifier l’auditoire sur les avancées constatées dans la préservation des droits de l’homme au Congo.

 « La République du Congo met un point d’honneur à l’application de la déclaration universelle des droits de l’homme, une pertinence. Elle n’a aucun ordre à recevoir d’un maître chanteur quelconque. Le Congo offre à tous, le droit à la vie, l’expression, la libre circulation, l’association », a souligné le ministre de la Justice, des Droits humains et de la Promotion des peuples autochtones, Pierre Mabiala.

Dans son propos, il a renchéri qu’en matière de protection des droits de l’homme, le Congo travaille avec objectif, et avance bien. Le gouvernement de la République du Congo, a-t-il ajouté, travaille de manière à garantir les libertés fondamentales, au profit de tout le peuple congolais.

Prenant la parole à son tour, le directeur général des droits humains et des libertés fondamentales, Philippe Ongangna, a soutenu que grâce à ses efforts, le Congo siège au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies, depuis 2011.

Depuis 2014, a-t-il martelé, le pays a pris entre autres l’engagement : d’œuvrer à la consolidation et à l’efficacité de l’action du Conseil des droits de l’homme et ses mécanismes ; de lutter contre toutes les formes de discrimination et la peine de mort.

Rappelons que la déclaration universelle des droits de l’homme a été adoptée le 10 décembre 1948, au palais de Chaillot, en France, par l’Assemblée générale des Nations unies, trois ans après la fin de la 2^e guerre mondiale.