Enseignement général : environ 92 000 candidats au BEPC

Samedi 28 Juin 2014 - 16:57

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Les épreuves écrites du Brevet d’études du premier cycle (BEPC) démarrent le mardi 1er juillet sur toute l’étendue du territoire national dans les 311 centres retenus y compris celui de Luanda-Cabinda en Angola

Au total, 92 102 candidats dont 81 329 officiels et 10 773 libres sont inscrits au BEPC, session de juillet 2014, contre 85 977 l’année dernière. Brazzaville compte à elle seule 40 783 candidats répartis dans 72 centres, contre 37 499 en 2013. Pointe-Noire a enregistré 25 731 inscrits pour 49 centres, contre 24 051 l’année dernière.

L’intérieur du pays compte 190 centres, selon les données de la direction des examens et concours. Le département de la Bouenza occupe le troisième rang en termes de nombres d’inscrits (4 607), devant le Niari 4 363. La Cuvette arrive en quatrième position avec 3 742 candidats, suivis des Plateaux 3 087 et du Pool 2 730 inscrits. La huitième place est occupée par la Likouala avec 2 259, dépassant la Sangha avec 1673 candidats, la Cuvette-Ouest (1 116) inscrits et la Lékoumou qui a 1048 candidats inscrits. Les deux derniers rangs sont occupés par le Kouilou qui n'a que 913 candidats et Luanda-Cabinda avec 50 élèves inscrits.

Respecter les normes organisationnelles

Dans le cadre de l’organisation des examens d’État cette année, le ministre de l’Enseignement primaire, secondaire et de l’Alphabétisation, Hellot Matson Mampouya, avait envoyé une circulaire aux directeurs départementaux, inspecteurs et chefs d’établissements, annonçant l’interdiction de quelques outils de travail dans les centres d’examen. « En vue de prévenir les délits de fraude ou de tentative de fraude aux examens d’État et concours, je vous demande d’informer tous les candidats auxdits examens d’État et concours, relevant de vos structures, que le port du téléphone portable, de la calculatrice programmable et autres appareils électroniques est strictement prohibé dans les centres d’examen ».

Cette mesure n’a pas été observée dans les différents centres à travers le pays lors du déroulement des épreuves écrites du baccalauréat, session de juin dernier. À propos, les observateurs déplorent la fuite des sujets dans certains départements du pays. Car le téléphone portable aurait joué de beaucoup en faveur de certains candidats.

Parfait Wilfried Douniama