MCDDI : les organes de base et intermédiaires approuvent l’action du Secrétaire général

Passant les uns après les autres sur le podium, les représentants des jeunes, des femmes, des sages et autres sensibilités regroupés au sein de leurs structures, ont soutenu dans leurs messages, l’action menée par Guy Brice Parfait Kolelas, tout en faisant remarquer que ce dernier bénéficiait jusqu’alors de la confiance des militants qui lui ont donné un mandat lors de la convention tenue à Kinkala du 22 au 23 décembre 2012.

D’après ces organes, les observations faites par les secrétaires généraux adjoints dans leur lettre, dénotent de leur mauvaise foi, obstruant la bonne marche du parti. Ils ont par la suite souligné que les dysfonctionnements et les faiblesses évoqués par ces personnalités ne sont que de nature diffamatoire à l’endroit de Guy Brice Parfait Kolelas.

Selon eux, en organisant des descentes dans les arrondissements de la ville de Brazzaville, le Secrétaire général n’est pas sorti du cadre des attributions que lui confèrent les statuts du parti. « Aucune disposition des statuts et règlements intérieurs ne fait obligation au Secrétaire général de réunir le Bureau exécutif national (BEN) pour organiser des débats à la base », a-t-on appris.

Ajoutant, qu’au cours de ces descentes, Guy Brice Parfait Kolelas n’a soulevé aucun problème tendant à la dénonciation de l’alliance PCT-MCDDI. Pour ces organes, le Secrétaire général a tenu à préciser et clarifier certaines zones d’ombre qui assombrissent cette alliance. « Le MCDDI s’étonne du procès d’intention fait à l’endroit de son Secrétaire général par les trois Secrétaires généraux adjoints surtout que ces derniers n’ont jamais été au contact avec la base dans le cadre de leur champ d’action », ont-ils fait remarquer d’autre part.

Outre la mauvaise gestion décriée par les trois Secrétaires généraux adjoints, ces derniers ont également fait observer dans leur message que, depuis un certain temps, Guy Brice Parfait Kolelas aurait marginalisé le Bureau exécutif national en s’employant de façon unilatérale dans une entreprise pernicieuse d’unité du parti dont il est seul responsable. Ils l’ont invité à convoquer sans délai le BEN, à revenir au bon sens dans le respect des statuts et acquis de la deuxième convention nationale afin de retrouver le chemin tracé et légué par le président fondateur de ce parti.