Bonne année 2024 !

Alors que vient de s’achever l’année 2023 et que débute la nouvelle année, il importe au plus haut point de respecter la tradition selon laquelle chaque être humain, où qu’il vive et respire, dit à toutes celles et à tous ceux qui l’entourent sa volonté d’agir afin que ce nouveau temps soit détendu, positif, heureux et concrétise leurs attentes, leurs espoirs.

Pour nous qui éditons ce quotidien depuis plus de deux décennies et qui espérons poursuivre encore durablement cette tâche professionnelle, ce nouveau moment est d’autant plus important que le temps dans lequel nous vivrons tout au long de cette année 2024 s’annonce imprévisible. Non pas du fait du Congo, qui a su gérer les multiples problèmes auxquels il se trouvait confronté comme toutes les nations de par le vaste monde, mais parce que la communauté humaine dans son ensemble vit à nouveau des moments difficiles générés par l’affrontement plus ou moins larvé des grandes puissances, mais aussi et plus encore par la dégradation de son  environnement naturel.

Ce que l’on peut souhaiter à celles et ceux qui nous lisent en ce tout début de la nouvelle année est, au-delà de leur vie personnelle et de la vie de la nation congolaise, que la communauté humaine dans son ensemble se mobilise réellement afin de conjurer les maux qui menacent aujourd’hui son destin. Confrontée à des dangers collectifs que les Grands de ce temps s’avèrent incapables de combattre efficacement, elle doit impérativement anticiper le pire qui naîtrait de leur affrontement direct comme cela s’est produit par deux fois dans le siècle précédent.

Quitte à nous répéter ici une fois encore, disons, écrivons plutôt sans l’ombre d’un doute qu’il importe au plus haut point, pour chacune et pour chacun d’entre nous, de se mobiliser afin de préserver la paix sous toutes ses formes. Autrement dit de faire entendre la voix de la raison à l’échelle de la planète, exactement comme la plus haute autorité de notre Congo, le président Denis Sassou N’Guesso, a su le faire dans l’année qui vient de s’écouler en convoquant à Brazzaville le Sommet des trois grands bassins fluviaux et forestiers de la Terre.

2024, dont nous vivons les premières heures, les premiers jours, sera ou plutôt doit être l’année durant laquelle seront prises les décisions qui mettront l’humanité à l’abri des maux qui la menacent aujourd’hui. Prions donc le ciel pour que ce rêve devienne une réalité et faisons en sorte que chacun de nous participe à la concrétisation de ce rêve.

Bonne et heureuse année pour tous !