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Jeudi 18 Janvier 2024 - 17:10

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Le processus portant augmentation du prix du carburant - essence et gasoil -  à la pompe a été enclenché depuis le mois juillet dernier, dans le cadre de la réduction des subventions par l’Etat sur certains produits. Des dividendes estimés en milliards de francs CFA qui devront permettre aux pouvoirs publics d’investir dans d’autres domaines à fort impact social, à savoir la santé, l’éducation et l’assainissement des principales villes du pays.

Bien que les premières augmentations aient suscité une grogne, elles appartiennent aujourd’hui au passé vu que des négociations avaient été ouvertes entre le gouvernement, le syndicat des transporteurs et les organisations de défense des droits des consommateurs. Aujourd’hui, la nouvelle hausse du prix du litre d’essence à la pompe est sur toutes les lèvres et l’on s’inquiète des conséquences qui en découleront inévitablement sur le quotidien de la population.

Le problème étant crucial, trouver des mécanismes qui permettent d’éviter une flambée des prix des produits de première nécessité constitue l’une des préoccupations majeures formulées aussi bien par les syndicats des transporteurs que les commerçants et les associations des droits des consommateurs. Ceux-ci exigent en particulier du gouvernement des mesures visant à amortir les effets négatifs des prix du carburant.

Dans cette perspective, la relance des discussions engagées entre la primature et les partenaires sociaux peut être une option.  Le but étant d’en proposer les mesures qui tiennent compte de l’intérêt de tous.

Les Dépêches de Brazzaville

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