Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
Urgence !Jeudi 23 Mai 2024 - 20:00 Au-delà des paysages, la photographie peut aussi mettre en lumière les impacts humains du changement climatique. Les photographes sont de plus en plus intéressés à donner une voix aux communautés les plus vulnérables, montrant comment leurs modes de vie et leurs moyens de subsistance sont menacés. Ces récits visuels personnalisés ont le pouvoir de toucher les cœurs et les esprits. Aux premières loges pour capturer les impacts visibles du changement climatique et de la dégradation environnementale, Franchesca Bel, John Kalapo et plusieurs autres professionnels nous donnent un bel exemple de ce photogramme en mettant en lumière la déforestation massive, l’impact des déchets sur l’environnement et d’autres phénomènes connexes alarmants. Des clichés chocs exposés à l’Institut français du Congo à l’occasion de la 4ᵉ édition des Rencontres internationales de la photographie d’auteur « Festival Kokutan’art » qui se poursuit jusqu’en juin. Ce n’est donc pas un hasard si le festival s’affirme cette année sur le thème « Urgence », souhaitant, en effet, montrer comment la photographie peut jouer un rôle crucial en sensibilisant le public et en motivant l’action pour protéger notre planète. En ces temps critiques pour l’environnement, les photographes ont un rôle essentiel à jouer en utilisant leur objectif pour sensibiliser, éduquer et mobiliser le public autour de la protection de notre planète. Et c’est bien ce qui se passe au festival Kokutan’art qui manie conférences et expositions. Les Dépêches du Bassin du Congo Edition:Édition du Samedi (SA) Notification:Non |