Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
Sans voixVendredi 11 Octobre 2024 - 15:34 Le manque d’eau dans de nombreux quartiers, les délestages observés dans la fourniture de l’électricité et les pénuries de carburant impactent fortement le quotidien des Brazzavillois. Plus incompréhensible est le silence qui s’apparente à une volonté des sociétés concernées. Cette attitude suscite des interrogations d’autant plus que ces trois denrées devenues rares font partie des besoins existentiels des familles. Les conséquences de cette situation sont : risque de recrudescence du banditisme du fait de l’obscurité, apparition des maladies hydriques, flambée des prix des denrées alimentaires et du coût du transport en commun. Survenant dans une atmosphère de revendications et des grèves dans plusieurs administrations, structures publiques et paraétatiques. Ces tensions devraient pousser les structures intéressées à communiquer davantage pour informer la population et calmer les ardeurs. Dans la situation actuelle, seule une bonne communication permettra d'établir une relation de confiance avec les citoyens, notamment ceux qui contribuent au fonctionnement des entités dont la mission première est la satisfaction des clients. Aujourd’hui, il n’y a guère d’autres options que s’exprimer pour rassurer. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |