Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama NSiah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
TreillisLundi 6 Janvier 2025 - 18:45 Dans son intervention lors du réveillon d’armes 2024, le chef de l’Etat, chef suprême des armées, a prescrit entre autres à la force publique la mission de poursuivre la lutte contre le grand banditisme aussi bien dans les grandes agglomérations qu’à l’intérieur du Congo. Une tâche régalienne pour les hommes en treillis qui sont formés pour assurer la sécurité des personnes et des biens au regard de la montée d’actes criminogènes enregistrés ces dernières années dans certains quartiers de nos villes où jadis il faisait bon vivre. Quotidiennement, des jeunes gens s’adonnent à extorquer de l’argent, n'hésitant pas à assassiner des innocents à l’aide d'armes blanches. Mais les efforts déployés dans leur traque devront se poursuivre avec plus d’ardeur et d’efficacité si l'on veut rendre nos quartiers plus vivables. Pour ce faire, la force publique doit travailler en symbiose avec la population qui est aussi appelée à jouer sa partition en dénonçant les délinquants. Les patrouilles motorisées et pédestres régulières aux alentours des marchés, écoles et d’autres endroits publics seront à ce titre d’une grande utilité. Le but est précis : débusquer les bandits dans leurs lieux de retranchement afin que chacun puisse répondre de ses faits et gestes attentatoires à la loi. N'en doutons pas, seul un châtiment exemplaire du corps judiciaire permettra de dissuader les délinquants et de régler tant soit peu le problème tant décrié. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |