Opinion

  • Idées-forces

Idées-forces

Lundi 16 Décembre 2013 - 2:40

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimableEnvoyer par courriel


Anecdotes, petites phrases, cris du coeur et coups de gueule meublent la vie de tous les jours. Cette rubrique se propose de sélectionner les idées les plus saillantes qui font la force des débats de société

« Aucun gouvernement occidental (aujourd’hui si loquace) n’avait soutenu le combat de Mandela, de ses amis et de l’ANC. »
Théophile Obenga, historien congolais, dans une déclaration intitulée « Mandela : entre opinion et histoire ».

« La passion politique n’est pas un mal en soi, mais elle peut empêcher d’entendre les arguments des autres. »
André Obami-Itou, président du Sénat (République du Congo), lors de la clôture de la session ordinaire, le 13 décembre 2013 à Brazzaville.

« Lorsque vous avez des politiques restrictives en matière de droits de l’homme, de libertés individuelles, c’est-à-dire la non-convergence entre les intérêts des dirigeants et ceux de la population, vous aurez forcément des armées nationales faibles, introverties, qui, au lieu de défendre le territoire national, deviendront tracassières. »
Jacques Djoli, vice-président de la commission Défense et Sécurité au Sénat (RDC).

« Les banques africaines au sud du Sahara, et en particulier les banques de l’Afrique centrale, en dépit de leur surliquidité ne peuvent financer et accompagner nos pays vers l’émergence économique parce qu’elles reçoivent en général des dépôts à court terme et ne peuvent financer de projets à long terme. »
Emmanuel Kamba, économiste (Congo-Brazzaville).

« La littérature n’a pas de nationalité, elle est sans pièce d’identité. C’est un bien universel, car les sujets abordés par les auteurs congolais sont aussi abordés par d’autres. »
Itoua Ndinga, écrivain congolais, le 10 décembre à Paris, lors d’un débat à l’occasion des soixante ans de la littérature congolaise.

« Former nos propres cadres de la santé, porter un jugement sur leur aptitude à s’occuper du patient, apprécier la valeur scientifique de leurs travaux, voilà notre ambition. »
Georges Moyen, ministre de l’Enseignement supérieur (Congo-Brazzaville), le 12 décembre à Brazzaville à l’occasion de la présentation de la trentième promotion des médecins issus de l’université Marien-Ngouabi.

« Les navigateurs peuvent entrer, séjourner et quitter les eaux territoriales congolaises. Le port autonome de Pointe-Noire est sans risque pour eux, pour les navires et pour les marchandises. »
Martin Coussoud-Mavoungou, ministre de la Marine marchande (Congo-Brazzaville), face aux gardes-côtes américains, le 13 décembre à Brazzaville.

Les Dépêches de Brazzaville

Edition: 

Édition Quotidienne (DB)

Idées-forces : les derniers articles