Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
WEBLundi 15 Juillet 2013 - 6:00 Ayant été l’une des premières entreprises congolaises à fonder sa croissance sur une utilisation intensive du réseau internet, nous nous devions de coller aux développements que les nouvelles technologies de la communication autorisent. Et c’est pourquoi nous avons le plaisir, aujourd’hui, d’offrir à nos lecteurs deux sites au design et au contenu modernisés qui nous permettront d’accroître fortement notre audience : l’un dédié à notre quotidien Les Dépêches de Brazzaville et à ses différentes éditions, l’autre consacré à l’Agence d’information d’Afrique centrale (Adiac), dont les activités dans le domaine de l’information, de l’art et de la culture ne cessent de se multiplier. Il est clair que le développement du web, loin d’affaiblir les organes d’information traditionnels, comme certains le prédisaient il n’y a pas si longtemps, a donné à ces outils de communication moderne une puissance plus grande encore. Pour la presse écrite, notamment, internet a comblé le fossé qui s’était creusé à l’origine entre les journaux et les médias audiovisuels. Plus le temps passe, en effet, et plus les premiers développent sur leurs sites des applications audiovisuelles que les internautes apprécient, car elles sont fondées sur une collecte exhaustive de l’information. Que ceux qui en doutent, si du moins il y en a parmi nos lecteurs, aillent donc voir sur le site de l’Adiac les images fixes et animées qui illustrent ses dépêches. La révolution technologique, à laquelle nous prenons soin de nous adapter en permanence, abolit le temps et l’espace de telle façon que désormais nos lecteurs, où qu’ils vivent, où qu’ils travaillent, où qu’ils voyagent, peuvent demeurer en contact permanent avec le Congo et plus généralement avec le Bassin du Congo. Une proximité qui explique pourquoi Les Dépêches de Brazzaville sont de plus en plus lues, écoutées, entendues jusques et y compris dans les capitales les plus lointaines du globe. La technologie progressant sans cesse, il va de soi que le pas important franchi par notre groupe de presse ce lundi 15 juillet 2013 n’est ni le dernier ni le plus important. Tout simplement parce que de nouveaux moyens de communication s’imposent sur le marché mondial et que, bien sûr, nous ne pouvons pas les ignorer. C’est ainsi que nous allons maintenant plonger dans l’univers foisonnant des smartphones, tablettes et autres outils que nos lecteurs utilisent et utiliseront de plus en plus. Conclusion : vous qui nous lisez à toute heure du jour et de la nuit, soyez assurés que notre mutation est loin d’être achevée. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) |