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Concrètement...

Samedi 20 Juillet 2019 - 20:30

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Que va rapporter au Congo l’accord qu’il vient de conclure après de longues négociations avec le Fonds monétaire international (FMI) pour les trois prochaines années ? Rien de bien précis, disent certains ; accord de dupes, renchérissent d’autres ; tout sauf le bonheur des Congolais assènent d’autres encore.

Ce pessimisme ambiant tire ses origines, croit-on savoir, du passé du pays avec l’institution de Bretton Woods et de l’avis de beaucoup, de la relation de cette dernière avec de nombreux pays du monde à qui elle propose son expertise quand ceux-ci sont en difficulté.  

Tel n’est néanmoins pas l’avis des autorités gouvernementales congolaises qui sans être euphoriques, ont fait allusion, dans une communication officielle à « une bonne nouvelle pour le Congo et pour tous les Congolais ». En personne, le Premier ministre, Clément Mouamba, qui s’exprimait jeudi dernier, au cours d’une conférence de presse, n’a pas cédé au doute.

Plus concrètement, le chef du gouvernement a salué l’opportunité que doit saisir le Congo, à travers cet accord avec le FMI, de redevenir fréquentable. Cela lui manquait tant depuis quelques années et l’isolement dont il a souffert a fortement déteint sur le quotidien des Congolais. A juste titre, chacun, là où il se trouve, se pose la question de savoir quelles vont en être les retombées positives de ce dénouement.

Pour ne citer qu’un exemple : à deux reprises, le secteur privé congolais a donné de la voix, courant ce mois de juillet, pour évoquer les « tracasseries » sur les routes dans les postes à péage et pour implorer une oreille attentive du gouvernement au sujet de la dette intérieure. On pourrait entendre pareils appels d’autres catégories sociales, nombreuses à espérer dès à présent la prise en compte par les pouvoirs publics de leurs désidératas. Le gouvernement est averti.

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