Art-Culture-Média
Au Palais des congrès
Election Miss émergence
Date : vendredi 12 avril
Heure : 18h 00
Ticket : 5 000/10 000 FCFA
A l’Institut français du Congo
Théâtre : La révérence, Mai 68, de Gaulle et moi…
Date : vendredi 12 avril
Heure : 10 h (scolaires et étudiants) / 19h
Entrée libre
L’heure du conte
Date : samedi 13 avril
Heure : 14h 00
Entrée libre
Rencontre de scrabble
Date : samedi 13 avril
Heure : 16h 00
Entrée libre
Samedi tout est permis à la médiathèque
Date : samedi 13 avril
Heure : à partir de 12h 00
Entrée libre
Les Bantous de la capitale en résidence
Date : dimanche 14 avril
Heure : 17h30
Ticket : 1 000 FCFA
Chez Sim Aerospace
Baptême de l’air
Date : samedi 13 avril
Heure : 15h-20h 00
Lieu : hall de l’aéroport Maya-Maya de Brazzaville
Ticket : 5000 FCFA
Dimanche 14 avril
Heure : 14h00-20h 00
Lieu : hall de ... Lire la suite
De retour du Burkina Faso où il a représenté le Congo au 50e anniversaire du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), le cinéaste a reçu un hommage mérité dans la ville océane, au cours de deux soirées ponctuées par des projections de ses films sur l’initiative de l’Institut français du Congo (IFC).
La retrospective sur Sébastien Kamba a commencé le 9 avril à l’IFC et a pris fin le lendemain au Centre culturel Jean-Baptiste-Tati-Loutard à Mpita. Les projections de films ont été suivies d’échange avec le public. Un feed-back qui a édifié plus d'un cinéphile.
Près de dix films courts et longs métrages, documentaires ont été projetés pour le plus grand bonheur du public jeune et adulte présent.
Sébastien Kamba qui a représenté le Congo à Ouagadougou, a fait un triomphe au pays des hommes intègres. En ... Lire la suite
Quelques heures après l’annonce de la mort du fondateur de Bana OK, le 30 mars à 15h 40, le maître plasticien exprimait sa peine dans un message adressé à « toute la famille biologique et artistique », accompagné d’une photo souvenir. Ironie du sort, il tirera lui aussi sa révérence deux jours après, le 1er avril, en Autriche.
C’était par l’évocation d’un événement heureux que feu Me Liyolo Limbe commencait son message. Il y a d’abord eu cette photo qui le ramenait à un grand événement passé cinq ans plus tôt : le cinquantenaire de sa carrière professionnelle qui avait donné lieu à la « Semaine culturelle Liyolo » organisée à l’Académie des Beaux-arts en 2013. Postée sur Facebook, le cliché est accompagné de cette légende du sculpteur qui laisse deviner son émotion du moment : « Lorsque Simaro nous faisait danser .... ici à la ... Lire la suite
Le nombre 13 est depuis longtemps lié à la peur et à la malédiction. Il existe même un terme technique pour qualifier cette peur. C’est la triskaidékaphobie ! L’origine de cette phobie est religieuse.
Cette superstition vient du fait que Jésus et ses apôtres étaient treize à table, le soir de la Cène (le dernier repas du Christ présenté par Philippe Champaigne). Ce soir-là, Judas, le treizième convive à s’assoir à table, trahit Jésus qui fut arrêté par les Romains. Le lendemain, un vendredi (le « vendredi saint »), Jésus fut jugé et crucifié. Mais Les nombreuses incidences du nombre 13 dans divers domaines temporels, historiques ou mathématiques semblent expliquer le caractère mystérieux et les superstitions entourant ce nombre : Les calendriers mayas et aztèques, par exemple, comportaient vingt mois à treize jours : ces sociétés ont disparu des ... Lire la suite
Dédié aux artistes et aux opérateurs culturels congolais, la récompense sera attribuée à ceux qui se sont démarqués durant l’année 2018, lors de la « Soirée des Arts.cd », le 13 avril à 19h 00, au Salon Okapi de l’Hôtel Vénus.
C’est avec le gala de ce samedi que le portail numérique des arts et culture en République démocratique du Congo (RDC), www.arts.cd, va procéder au lancement de sa « Soirée des Arts.cd ». Tout ce que l’on sait, à quelques heures de cette première édition, c’est qu’elle va faire honneur au monde des arts congolais « en décernant le prix de mérite dénommé “Prix Lokumu“ aux artistes et aux opérateurs culturels congolais ». Jusqu’ici, rien n’a filtré au sujet des nominés ou futurs lauréats qui seront découverts in situ.
Le Prix Lokumu, traduit du lingala en français, signifie "honneur". Il va honorer ... Lire la suite
L’événement sur le site majeur de déportation d'esclaves, situé dans le département du Kouilou, se tiendra du 2 au 4 mai à Pointe-Noire et fera intervenir d’éminents chercheurs du pays et d’ailleurs.
«Histoire et héritages» est le thème du colloque sur Loango, un site situé à vingt kilomètres de Pointe-Noire. L’activité vise « à susciter une réflexion contemporaine à partir des connaissances sur les traites, la colonisation et les sociétés post-esclavage, éclairée par les travaux de spécialistes de ces domaines de recherche, et d'éviter autant les tabous que les lectures idéologiques à l'honnêteté douteuse».
En effet, le site de Loango abritait le port d’embarquement des esclaves (qu'on faisait passer par la Piste des caravanes). Il a vu partir environ deux millions de personnes, « ce qui en fait aujourd'hui un témoin majeur de cette ... Lire la suite
« On bâtit son avenir. On ne le reçoit pas en cadeau », tel est le message de fond du vade-mecum du développement personnel et communautaire que nous proposent les deux auteurs.
Le livre écrit dans un langage accessible donne quelques pistes de réponses aux multiples écueils auxquels la plupart des gens sont confrontés dans leur quête de bonheur. Palmarès Ombou et Michrist Kaba-Mboko se veulent pragmatiques et lucides face aux défis de développement.
Le développement de la société, selon eux, dépend surtout de la mentalité, du comportement et de la vision des individus qui la composent, particulièrement de ses leaders. L’échec et la pauvreté permanente ne sont pas, en effet, fruit du hasard, mais sont généralement la conséquence de la vision que les gens ont de la vie, de leurs choix et de leurs actions au quotidien.
Chacun a la possibilité d’être ce ... Lire la suite
L'artiste plasticien, professeur d’art plastique à Abidjan, en Côte d’Ivoire, expose depuis le 2 avril à l’Institut français du Congo de Brazzaville sur le thème « Souffle et immigration » à l’occasion du Festival international du livre et des arts francophones. Dans cette interview qu'il a accordée aux Dépêches du Bassin du Congo, il exhorte l'Africain à rester chez lui au lieu de penser que le bonheur est toujours ailleurs que chez soi.
Les Dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C) : Pouvez-vous nous parler de votre exposition ?
Jean Wilfried Djaha (J.W.D) : Je présente vingt tableaux qui retracent le parcours des migrants et leur état d’âme, tout ce qu’ils endurent pendant la traversée. On peut retrouver dans cette toile des coupures de presse, de collage de fils à coudre, d’autres matériaux que des matériaux académiques. Parce que j’ai ... Lire la suite
Depuis le 2 avril, plusieurs Kinois se donnent rendez-vous à la place dédiée au poète, à moins d’un mètre de son buste mis en évidence sous les lumières diffusées à partir des quatre coins au croisement des avenues Nyangwe et de la Libération (ex-24 novembre).
Ecran géant, podium, chaises et tables constituent le décor de la place qui accueille tous les soirs un petit monde autour d’un verre de bière et des morceaux diffusés par de gros baffles. La Place Lutumba a, depuis sa mort, un succès particulier. Les photographes qui passent par le coin ont bien de quoi se faire un peu d’argent. En effet, c’est maintenant de jour comme de nuit que les Kinois s’imposent une halte à cet endroit devenu emblématique depuis le décès du grand poète. Pourtant, la plupart se contentaient jusque-là de jeter un œil au buste à partir de leur taxi ou bus de passage à ce ... Lire la suite
Isandhlwana, aussi transcrit par Isandula, colline à la tête de bœuf, est une plaine surélevée par une crête au nom éponyme située dans le Kwazoulou Natal, à l’est de l’Afrique du Sud. Silencieux, inébranlable et insouciante, la plaine que surplombe le massif rocailleux est périodiquement l’objet de cérémonies dédiées tant à la mémoire des soldats britanniques qu’à ceux de l’armée zoulou. En effet, ici, au cours de la journée fatidique du 22 janvier 1879, voici 140 ans, se déroula une violente bataille entre l’armée zoulou et les troupes coloniales britanniques dont la défaite fit sensation en Europe.
Exilé en Angleterre, le philosophe et révolutionnaire allemand, Friedrich Engels, consigna alors dans ses notes que les Zoulous avaient fait ce qu’aucune armée au monde ne pouvait faire, à savoir réussir l’exploit de battre à coups de ... Lire la suite