Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Emmanuel Mbengué
KermessJeudi 20 Juin 2019 - 21:00 La période de vacances arrive à grands pas et, bientôt, les espaces publics vont être tous bigarrés de foires aux allures distinctes. Des réjouissances attendues et dont certaines ont déjà posé les balises dans les lieux connus et bruyamment décorés. De Ouenzé, le cinquième arrondissement, en passant par Moungali et Bacongo, des fumées et décibels se coudent déjà pour tenter d’alerter sur l’opportunité. Si ces moments permettront aux citoyens d’éviter le stress, de vivre ensemble à travers les rencontres, de jouir des loisirs mais égalemnt de découvrir quelques jeunes artistes qui s’y prêtent à œuvrer pour leur notoriété, en savourant l’intéraction avec le public, ils devront surtout éviter de ranger ces rendez-vous sur le seul prisme des adultes. Les jeunes n’ont-ils pas droit aux vacances ? Evidemment oui. L’essentiel est de concilier ces foires aux enjeux d’une évasion saine et profitable pour qu’ils ne s’y dépravent pas. Alors que des commerçants vont vouloir être tentés d’investir même les lieux interdits, à l’instar des écoles et autres jardins publics, pour installer tables, chaises, barbecues et bars, n’est-il pas l’occasion de réclamer des pouvoirs publics une meilleure orientation sur l’aménagement de ces kermesses qui débordent souvent ? Les Dépêches du Bassin du Congo Edition:Édition du Samedi (SA) Notification:Non |