Projet Durquap : les responsables des quartiers formés au mécanisme de gestion des plaintes

Lundi 21 Octobre 2019 - 18:30

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Un atelier organisé du 17 au 18 octobre, à Pointe-Noire, a permis aux participants d'être outillés sur l’enregistrement, la transcription et la transmission du courrier, la rédaction des comptes rendus, des procès-verbaux des réunions et des rapports d’activités, des plaintes  sur  les violences  fondées sur le genre et autres.

 

 

L’objectif est de renforcer les capacités  des acteurs de gestion des plaintes en vue de l’application des instruments de gestion des plaintes et d’évaluer sommairement les impacts environnementaux et sociaux potentiels des sous-projets (construction du stade Tata Loboko, des écoles et du marché Tchiniambi 1, ainsi que des voiries par pavage en deuxième phase dans les  quartiers concernés) sur le milieu en vue de déterminer, s’il y a nécessité ou pas, de réaliser un travail environnemental et social dans les quartiers précaires ciblés  par le Projet de développement urbain et restructuration des quartiers précaires (Durquap).

S’exprimant sur l’importance de cet atelier, Etienne Tati Mabiala, président du comité local de gestion des plaintes, a expliqué qu'il permettra aux bénéficiaires de gérer des éventuels conflits qui peuvent naître pendant la mise en œuvre effective du projet.

Soulignons qu’à Pointe-Noire, deux quartiers précaires sont ciblés par le projet Durquap, notamment Mboukou  et Tchiniambi 1, respectivement dans le troisième arrondissement, Tié-Tié, et le quatrième, Loandjili. Ce projet est mis en oeuvre par le  gouvernement congolais, appuyé par la Banque mondiale.

 

  

                                                  

Séverin Ibara

Légendes et crédits photo : 

Des participants à l'atelier / Adiac

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