Force publique : 64 officiers et sous officiers promus aux nouveaux grades

« Au nom du commandement, je vous en félicite très particulièrement et vous exhorte à plus d’engagement de dévouement et de responsabilité en vue de continuer à mériter de la confiance de la hiérarchie et servir d’exemple à d’autres policiers qui attendent encore dans les rangs . À ceux-là,  je demande patience, persévérance et surtout plus d’ardeur au travail » a déclaré le colonel de police Serge Pépin Itoua Poto.

S’adressant aux nouveaux promus, l’orateur a aussi dit la satisfaction du haut commandement de la police  à l’endroit  d’autres  services et unités de la force publique pour leur efficace contribution lors de la sécurisation du processus électorale dans les départements du Kouilou et du Pointe-Noire. « Les échéances électorales présidentielles vitales pour le Congo, faut-il le rappeler, se sont déroulées sans incident majeur dans l’ensemble des départements du Kouilou et de Pointe-Noire. Sans oublier  les traditionnelles et essentielles missions de la police basées sur la sécurisation permanente des biens et de personnes, la protection des institutions de la République, le maintien de la paix et de l’ordre public.  De la même manière et avec le même professionnalisme, l’implication des policiers s’avère nécessaire en vue de relever les défis futurs. L’élévation aux nouveaux grades implique le  redoublement d’efforts et de responsabilités », a-t-il conclu.

Remerciant ainsi leur  hiérarchie pour la confiance dont ils viennent de bénéficier, le colonel de police Miakatsindila Landry Edmond Syvère et  le lieutenant Olangala Davi respectivement commissaire central de la ville de Pointe-Noire et chef de section de la compagnie d’intervention de ladite ville ont indiqué que la population attend toujours beaucoup de services de police notamment sur  la libre circulation des personnes et des biens. Ils ont aussi manifesté le vœu de voir leurs collègues qui n’ont pas été promus à travailler de plus en plus avec ardeur et  dévouement  puisque, selon eux, tout le monde ne peut être élevé au même moment.