Droits de l’homme : L’ADHUC se préoccupe de la situation de deux détenus à la maison d’arrêt
Dans son exposé, le président de l’Adhuc s’est également référé à l’article 11 de la Constitution du 25 octobre 2015 qui stipule : « …Tout acte de torture, tout traitement cruel inhumain ou dégradant est interdit. Le pouvoir judiciaire, gardien des libertés individuelles assure le respect de ces principes ». « Lorsqu’une personne reste à la maison d’arrêt sans être jugée au-delà de 6 mois et ne sait pas combien de temps il va y rester, c’est une violation flagrante de la liberté individuelle et nous sommes dans cette situation aujourd’hui », a conclu le président de l’Adhuc.
Jean Jacques Koubemba Légendes et crédits photo :Photo : Le président de l’Adhuc s’exprimant devant la presse |