Festival international du film sur la migration : l’appel à films ouvert
« Depuis toujours, le cinéma est utilisé pour informer, divertir, instruire et susciter le débat. Le GMFF s’inscrit dans cette perspective et ouvre chaque année la voie à un plus grand débat sur l’un des phénomènes les plus importants de notre ère afin d’aider à la recherche de solutions pratiques aux problèmes de migration et à fournir une assistance humanitaire aux migrants dans le besoin, y compris les réfugiés et les personnes déplacées internes », a fait savoir l’organisation onusienne sur le site du festival. Pour cette 6e édition, le GMFF accepte les films sortis à partir du 1er janvier 2018 jusqu’à aujourd’hui, qu’importe le genre : long-métrage, court métrage, documentaire, film d’animation, etc. Les films doivent être en anglais ou en français et ceux dans d’autres langues sont encouragés mais doivent avoir des sous-titres en anglais ou en français. Au terme des inscriptions, un comité de professionnels du cinéma sélectionnera plusieurs productions exceptionnelles qui seront projetées dans vingt-deux pays d’Afrique du centre et de l’ouest, à savoir Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Cap-Vert, République centrafricaine, Tchad, République démocratique du Congo, Côte d’Ivoire, Guinée, Gabon, Gambie, Ghana, Guinée-Bissau, Libéria, Mali, Mauritanie, Niger, Nigéria, Sao Tomé-et -Principe, Sénégal, Sierra Leone, Togo. Les projections se dérouleront dans la période du festival prévue du 24 novembre au 18 décembre de cette année. Elles auront notamment lieu dans différents espaces, allant des cinémas aux salles de concert, des écoles et universités aux espaces improvisés dans des zones difficiles d’accès au cœur des communautés et des routes migratoires populaires. Les séances de visionnage sont gratuites et se suivront de débats et d’événements parallèles organisés par les bureaux-pays de l’OIM et leurs partenaires. Merveille Jessica Atipo Légendes et crédits photo :Le visuel de l’appel à films/DR |