Lutte contre le blanchiment : le dispositif congolais répond aux normes Cémac
« Comme celui de tous les Etats d’ailleurs, le dispositif congolais présente forcément un certain nombre de forces et de faiblesses pouvant faire l’objet d’une amélioration », a-t-il poursuivi, relevant que la mission est pour l’heure à l’étape préliminaire car, dans l’évaluation mutuelle des Etats, deux aspects sont pris en compte. Il s’agit de la conformité technique et les aspects liés à l’efficacité. « Il n’y avait donc pas grand problème au niveau de la conformité technique du pays au plan règlementaire », a relevé le chef de mission. S’agissant de l’efficacité, les évaluateurs sont en train d’effectuer une analyse devant aboutir à une notation du dispositif du pays, prévue prochainement. Rappelons qu’en République du Congo, pour lutter contre le blanchiment des capitaux, le pays dispose d’une Agence nationale de renseignements financiers. Lopelle Mboussa Légendes et crédits photo :Les délégations du Congo et du Gabac |