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Migrations (suite)

Mardi 21 Septembre 2021 - 20:40

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Faire en sorte que les jeunes générations africaines ne soient plus tentées de migrer vers les nations riches de l’hémisphère nord est, comme on dit en langue populaire, un impératif catégorique. Non seulement pour les pays de l’Afrique du Nord, du Sahel ou du Sahara qui sont durement impactés par les tensions ethniques et religieuses nées en particulier de l’effondrement de la Libye, mais également pour les pays de l’Afrique sub-saharienne que la crise mondiale actuelle frappe durement et conduit de plus en plus de jeunes à tenter de quitter leur pays afin de vivre mieux.

Dans ce contexte très particulier et pour le moins inquiétant, il est clair, chez nous, que le programme assigné au gouvernement par la plus haute autorité de la République, le président Denis Sassou N’Guesso, est de très loin la meilleure manière de relever les défis du temps présent. En relançant la croissance économique, il permettra de créer de nombreux emplois sur toute l’étendue du territoire national et convaincra de ce fait les jeunes Congolais qui en seraient tentés de ne pas quitter leur pays.

Ayons bien présent à l’esprit le fait que la migration sauvage affecte de plus en plus de peuples sur notre continent et fait perdre la vie à des jeunes, garçons et filles, au terme des terribles épreuves imposées par des « passeurs » criminels dont l’unique objectif est de tirer profit de la détresse humaine. Elle est en vérité une forme d’esclavagisme moderne qu’il convient de combattre par tous les moyens au plan international bien sûr,  mais qui ne peut être vaincue au plan national que par le progrès économique, financier, social, bref par le développement durable dont dépend le niveau de vie de chacun.

S’il est vrai, comme nous l’avons écrit ici même hier, que les pays riches doivent se mobiliser beaucoup plus qu’ils ne le font aujourd’hui afin d’accompagner les pays émergents dans leur longue marche en avant, il l’est tout autant que ces derniers doivent de leur côté tout mettre en œuvre pour que leurs citoyens aient confiance  en l’avenir. C’est très précisément ce qui figure en tête de la « feuille de route » assignée à nos gouvernants pour le nouveau quinquennat dont nous vivons les premiers mois.

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