Publié sur adiac-congo.com : toute l'actualité du Bassin du Congo (https://www.adiac-congo.com)

Accueil > Nos enfants à l'école

Opinion

  • Éditorial
    - Les Dépêches de Brazzaville
  • Réflexion
    - Jean-Paul Pigasse
  • Le fait du jour
    - Gankama N'Siah
  • Humeur
    - Faustin Akono
  • Chronique
    - Boris Kharl Ebaka
  • Brin d’histoire
    - Mfumu
  • Tribune libre
    - Sergueï Lavrov
  • Idées-forces
    - Les Dépêches de Brazzaville
  • Analyse
    - Xinhua
  • Éditorial

Nos enfants à l'école

Samedi 17 Février 2024 - 18:15

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimableEnvoyer par courriel


Nous revenons à nouveau sur le climat d’insécurité dans les établissements scolaires de notre pays après en avoir parlé la semaine dernière dans notre éditorial intitulé « ça se passe à l’école ». Répéter, insister et encore redire peuvent avoir une valeur pédagogique au-delà de l’indispensable sanction souvent préconisée quand on se rend compte, comme on le dit dans un langage familier, que « trop c’est trop !».

Trop c’est trop ! est bien la conclusion qui s’est imposée à un chef d’établissement de l’enseignement public à Brazzaville quand il a décidé d’exclure définitivement un élève trouvé en possession d’un serpent dans ses effets scolaires. Cet enfant est-il un collectionneur, un charmeur de reptiles, ou un simple aventurier peu conscient du danger qu’il court et fait courir à ses camarades de classe si par inadvertance la bestiole venait à lui jouer des tours ?  La question reste posée.

L’on a beau pointer la responsabilité des pouvoirs publics dans le relâchement tant décrié de la discipline dans différentes sphères étatiques en ce qui concerne les dérives chez nos jeunes enfants à l’école, la part des parents ne peut être ignorée. La maison familiale est, en effet, la première cellule de prise en main de nos petits protégés, filles comme garçons, car c’est à cette échelle que commence la construction de la personnalité de chacun.

Des parents qui ne parlent plus à leurs enfants et ne sont plus en mesure de les accompagner dans leurs choix les condamnent à la perdition et avec eux, toute la société. Si l’on ajoute à ces inconduites en milieu juvénile celles imputées aux personnalités à qui sont confiées d’importantes charges dans la grande administration publique, la conclusion passagère est qu’il y a urgence à ce que l’autorité de l’Etat reprenne ses droits.

Conclusion passagère car rien n’indique qu’il est impossible, désormais, de remettre de l’ordre là où besoin est : à l’école bien sûr, mais aussi au marché, dans la rue, dans l’occupation du domaine public, dans le fonctionnement des grands corps de l’Etat dont dépendent l’équité, la tranquillité et le quotidien du citoyen lambda. Il n’est pas lieu de tous les énumérer tant ils sautent aux yeux.

Les Dépêches de Brazzaville

Edition: 

Édition Quotidienne (DB)

Notification: 

Non

Éditorial : les derniers articles
▶ 17/5/2025 | La lettre
▶ 14/5/2025 | Temps perdu
▶ 13/5/2025 | Petite enfance
▶ 12/5/2025 | Négociations
▶ 10/5/2025 | Léon XIV, sauve le monde!
▶ 8/5/2025 | Traque !
▶ 8/5/2025 | Pour les mêmes causes
▶ 6/5/2025 | Expertise nationale
▶ 5/5/2025 | Report
▶ 3/5/2025 | Espace Nkeni-Alima
  • Accueil
  • Partenaires
  • Annonceurs
  • Contact
  • Crédits
  • Mentions légales

Le Groupe

  • Les Dépêches de Brazzaville

  • Le Courrier de Kinshasa

  • ADIAC TV

  • Musée du Bassin du Congo

  • Éditions les Manguiers

  • Imprimerie du Bassin du Congo

Services

  • Abonnez-vous
  • Newsletter
  • Abonnement flux RSS
  • Abonnement média
  • Offre spéciale Entreprise
sas.cmd.push(function() { sas.render("94320"); // Format : Floor Ad 728x90 });

URL source: https://www.adiac-congo.com/content/nos-enfants-lecole-155098