Sommet de Paris sur le climat: une économie bleue pour stimuler la croissance bleue
En sa double qualité de ministre et de coordinatrice technique de la Commission Climat du Bassin du Congo, Arlette Soudan-Nonault a fait une communication dans la salle Artic du pavillon 7.2 Hall A du parc d’expositions de la Porte de Versailles, sur le Fonds bleu pour le Bassin du Congo (F2BC) : ses enjeux, son objectif, ses ressources et ses prochaines étapes. Cette communication sur l’instrument financier pour le lever de fonds que représente le Fonds bleu pour le Bassin du Congo s’est déroulée en présence de Nezha El Ouafi, ministre de l’Environnement du Maroc. Pour son intervention, la représentante du royaume chérifien a tenu à exprimer la volonté du Roi Mohamed VI d’accompagner les trois commissions mises en place en marge de la COP22, à Marrakech. À ce jour, il est évident, depuis le Mémorandum d’entente d’Oyo, en passant par la réunion technique de Marrakech jusqu’à la conférence extraordinaire des ministres de la Communauté économique des Etats d'Afrique centrale et de la Communauté de l’Afrique de l’est sur l’opérationnalisation de la commission pour le Bassin du Congo, du Fonds bleu pour le Bassin du Congo, que le cadre de gouvernance existe. « Les fonds peuvent être désormais levés », a conclu la ministre congolaise, en s'inspirant sur le modèle technique marocain du Centre de compétences du changement climatique, la plateforme du 4 C Maroc. Marie Alfred Ngoma Légendes et crédits photo :Photo : Arlette Soudan-Nonault du Congo et Nezha El Ouafi du Royaume du Maroc, deux ministres en charge de l'Environnement, à l'issue de la communication à Paris sur le Fonds bleu pour le Bassin du Congo
Crédit photo : Lambert Fabrice Okoko |