Vulgarisation du Muay-thai au Congo : Crice Boussoukou compte sur l’apport de tous
En compagnie des dirigeants sportifs, notamment le président de l’association sportive Tosa Obika, Francis Ata, qui a parrainé cette activité, puis du directeur technique national du comité national de full contact, Boubacar Fofana et autres, Crice Boussoukou a signifié qu’il prépare une compétition internationale de boxe au Congo. « Nous sommes venus visiter les endroits où nous pouvons organiser des championnats de grand niveau. Nous avons vraiment de beaux bijoux qui méritent d’être valorisés. Même dans des pays développés, il est difficile de voir des espaces comme ceux-ci dans une même ville. Que le gouvernement nous accompagne afin de permettre aux jeunes de s’exprimer. J’ai l’expérience et je suis prêt à la partager avec mes compatriotes », a-t-il indiqué. Natif de Dolisie, dans le département du Niari, Crice Boussoukou a quitté le Congo pour l’Europe à l’âge de 11 ans. Lors de cette visite, il a promis de faire un tour dans plusieurs autres localités du pays. La boxe thaïlandaise, ou muay-thaï « boxe du peuple thaï », abrégée en boxe thaï, est un art martial, plus précisément un sport de combat, classé parmi les boxes pieds-poings. Elle est surnommée l'art des huit membres en référence aux huit parties utilisées des bras et jambes. Les pratiquants sont appelés nak muays. Rude Ngoma Légendes et crédits photo :La délégation de Crice Boussoukou au gymnase Etienne Manga/Adiac |