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Jeudi 17 Janvier 2019 - 20:38

Le 26 janvier, l’artiste comédien et humoriste congolais sera  sur scène  à l’Institut français Congo de Brazzaville. En solo, il évoquera le quotidien des Africains, en général, et des Congolais, en particulier, pendant les moments de marasme économique.

La prochaine prestation de Juste Parfait se focalisera sur un seul thème: «  La crise ». En effet, le comédien montrera, à travers son art, comment les citoyens changent d’habitude pendant les moments de récession économique, comment un riche s’appauvrit mais aussi comment un pauvre s’enrichit pendant la crise et comment chacun d’eux traverse ce moment ainsi que  la réaction des voisins. « Ce thème me permettra de mettre en lumière l’actualité de notre pays. Actuellement, nous vivons une crise, pas seulement une crise financière. Beaucoup de foyers sont en crise de compréhension mais aussi ... Lire la suite


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Jeudi 17 Janvier 2019 - 20:42

Du 7 au 13 janvier, l’artiste congolais mondialement connu a séjourné à Brazzaville, la ville qui  l’a vu grandir. Philippe Darwin Nianga de son vrai nom a profité  de ce moment pour prester à l’Institut français du Congo et dans un hôtel de la place, après avoir animé des ateliers de formation  au profit des jeunes humoristes.

Malgré la durée et la distance qui lui sépare de son pays, le chroniqueur, animateur radio, comédien et humoriste Phil Darwin  reste attaché à la culture congolaise. « Je suis toujours content lorsque je suis au Congo. La société congolaise m’inspire beaucoup, voilà pourquoi j’aime tout ce qui est congolais, particulièrement la sape. Surtout, j’adore parler nos langues nationales », nous a-t-il avoué.

En effet, après avoir quitté Brazzaville en 1997, ce fils de diplomate n’a cessé de faire honneur à l’humour ... Lire la suite


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Mardi 15 Janvier 2019 - 17:40

Le spectacle sera joué le 19 janvier, dans la salle Tchicaya-Utamsi  de l’Institut français du Congo (IFC) à Pointe-Noire.

Mis en scène par Pierre Claver Mabiala sur une idée originale de Magloire Bolunda, le spectacle de théâtre "La proie et le bête" sera joué sur scène par les comédiens Placide Holla et Duvalier Lountadila.

 L’intrigue : la traque d’un homme qui croit trouver refuge dans un village où il se confie au chef, pour découvrir qu’il a été trahi et que le chef  n'est autre que celui qui le persécutait. Les mailles du filet semblent donc bien serrées.... 

Ce spectacle peint avec humour notre société où les vices et les travers sont mis à nu par l'ironie du metteur en scène.  A la trame inédite, "La proie et la bête" lance une année culturelle qui s’annonce faste dans la ville océane avec des créations artistiques et des arts ... Lire la suite


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Jeudi 17 Janvier 2019 - 20:40

Il est beau de découvrir une écriture mature chez un jeune écrivain. Le livre d'Ayi Renaud Dossavi-Alipoeh est un chef d’œuvre qui inaugure la démarche poétique d’un étudiant de l’Ecole supérieure des techniques biologiques et alimentaires du Togo. L'auteur est né en septembre 1993, à Lomé.

On dit que la solitude des poètes n’est pas totalement solitaire. Elle est solidaire de l’état mirifique et même misérable du monde. Dans son silence intérieur, le poète accouche des représentations verbales qui en expriment tous les sentiments. Des plus sublimes au plus révoltants.

Aussi se présente-t-il comme cet « enfant des silences faiseurs de mots et de complicité/ enfant des regards partagés, mouillés d’amour ou de chagrin ». Ayi, le chantre d’un univers endolori à cause de l’inhumanité croissante de l’action humaine. Il consacre sa verve ... Lire la suite


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Mardi 15 Janvier 2019 - 12:00

Publié récemment en numérique, le livre vient de paraître aux Éditions + en soixante-neuf pages nourries de textes aux envolées lyriques insurrectionnelles.

Visuel de la couverture de "Ce pays sous ma peau" de Maha Lee CassyL'approche poétique de l'auteur, à en croire la portée des proses, est celle d'une insurrection poétique de la pensée d'Aimé Césaire, le poète martiniquais, lorsqu'il disait que "la poésie est une insurrection contre la société".

Pour cet ouvrage de Maha Lee Cassy, cette insurrection pointe du doigt le pays natal biologique qui n'arrive plus à procurer du travail à ses enfants, à les nourrir, à assurer leur sécurité. Ce pays est à repenser, concède-t-il. Avec un jeu de mots subtil : "A repenser pour le panser".

"Il faut donc l'analyser", explique-t-il. "Le disséquer". "Le projeter dans l'avenir où il naîtra un nouveau pays". "Un nouveau pays natal". "Le pays natal poétique". "Philosophique". "Un ... Lire la suite


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Lundi 14 Janvier 2019 - 17:21

 L’artiste britannique, Isabelle Brouwers, animera du 28 janvier au 3 février, à l’Institut français du Congo (IFC), un atelier de formation gratuite à l’endroit des danseurs et danseuses en danse classique et contemporaine. Elle invite ces derniers à s’inscrire jusqu’au 26 janvier, à l’accueil de l’IFC, date à laquelle les inscriptions seront clôturées.

    Qui est donc Isabelle Brouwers ?

Elle est la première artiste du Ballet national anglais, née à Bonn, en Allemagne. Isabelle Brouwers a  participé à de nombreuses compétitions de ballet à travers le monde et remporté plusieurs prix, notamment le Grand Prix Youth America 2007. L'artiste a été désignée la deuxième danseuse britannique de l'année 2013. Elle avait reçu également la médaille d'argent du concours international de ballet Génée 2013. Finaliste aussi des danseurs émergents ... Lire la suite


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Lundi 14 Janvier 2019 - 19:00

Après plusieurs mois d’apprentissage en musique, percussion et danse avec l'artiste Marie-Georges Banzouzi Samba alias Magnum, les enfants orphelins de Brazzaville présenteront, le 17 janvier, à l’Institut français du Congo (IFC), un spectacle payant dénommé « Mu Bwanissa ». Ceci est un projet focalisé sur l’épanouissement de ces derniers avant de les intégrer dans la compagnie Fleuve Congo que dirige Magnum.

Ce spectacle est soutenu par l’association Mobembo de l’artiste Magnum.  Les fonds récoltés seront directement reversés à l’orphelinat Nazareth de Mpila. Le droit d’entrée est fixé à 1000 FCFA.

Créée en 2010, la compagnie Fleuve Congo est composée de danseurs, musiciens, percussionnistes et chanteurs. Elle propose au public un spectacle à la fois vivant et vibrant.


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Lundi 14 Janvier 2019 - 20:02

Le soliste et arrangeur congolais, décédé le 8 janvier à Brazzaville des suites d’une longue et pénible maladie, emporte avec lui la magie de l'instrument à cordes qui a longtemps été le signe identitaire de sa personne.

De son vrai nom Ignace Nkounkou, Master mwana Congo a été une virtuose de la guitare. Ses doigts agiles n'ont eu aucun secret, durant toute sa carrière, pour les cordes de sa guitare qu’il manipulait à son gré en produisant des sons phénoménaux.  Musicien phare de l’orchestre Mando Negro Kwala kwa, dans les années 1960-1970,  Master se distingua aussi par ses compositions telles "Massamba", "Brigitte", qu’il réalisa en solo à Paris dans les années 1980, sans oublier "Tika ndeko", "Marie Monique" et "Zwa ya bolole".

Dans les années 1980, il s’installe à Paris, la ville lumière où sa guitare devenue plus électrique et animée ... Lire la suite


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Lundi 14 Janvier 2019 - 17:17

Publié le 10 janvier, en deux cent quatre-vingt-huit pages, l'ouvrage passe au peigne fin Sony Labou Tansi, l’écrivain des deux rives du Fleuve Congo.

Visuel de la couverture Sony Labou Tansi. Naissance d'un écrivain de Céline GahunguDans son ouvrage, l’auteure part d’un questionnement classique : « Qui est Sony Labou Tansi ? ». Dans ses recherches, l’essayiste donne les réponses d’approche de celui qui est devenu un écrivain.

« Celui que l’on considère aujourd’hui comme l’un des plus grands auteurs africains d’expression française n’est pas né en un jour. Il lui a fallu s’imaginer, se fabriquer, se faire connaître et reconnaître par un Congo en proie aux convulsions de l’Histoire. Tout s’est décidé pour lui à la fin des années 1960, quand son goût de l’expérience créatrice s’est changé en un besoin, toujours plus impérieux, de construire son propre univers, dense et homogène. L’anonyme Marcel Ntsoni invente ... Lire la suite


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Samedi 12 Janvier 2019 - 14:15

Edité par L'Harmattan, l’ouvrage de  soixante-seize pages relève à la fois de la nouvelle et de la chronique.  

Le recueil de nouvelles "Même les nuits denses ont leur lumière" est composé de cinq textes, notamment Une sorcière à Via Karta, Peaux de banane, Mambou la fille, Le supplice de Mpassi Ndzolufua et La fille au parapluie. L'ouvrage  plonge les lecteurs dans les aléas du quotidien de leurs personnages à travers des thématiques variées, telles que le conflit de générations, la cohabitation des morts et des vivants, la délinquance sénile ou encore le vivre ensemble dans une société totalement divisée.

Le premier texte met en scène un conflit de générations. Il s’agit de Léo Gordini, une jeune fille très dynamique qui rêve d’une vie de comédienne mais, ses parents en décident autrement en lui donnant en mariage à un vieillard, Raph Barthelot, ... Lire la suite

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