Nancy, ton souvenir demeure éternel

Mardi 15 Novembre 2016 - 17:30

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Il n’existe aucun mot pour qualifier la personne que tu étais...Je me souviendrai éternellement de ton merveilleux sourire, de ta contribution qui savait réchauffer mon cœur dans des moments douloureux.

Ton courage et ton envie de vivre resteront exemplaires pour moi. Désormais, tu es une étoile de plus qui brille dans le ciel. Je ne t’oublierai jamais, Nancy ! Merci pour tout ce que tu m’as apporté, merci pour ta touche dans mes articles de presse dès le début de ma carrière aux Dépêches de Brazzaville.

Je me souviens, lorsqu’il s’agissait de faire un dossier, tu t’appliquais à fond, et tu m’entrainais. Lors des petites cérémonies de mariage et d’anniversaire, tu aimais également apporter ta touche.

J’ai beaucoup apprise de toi ma petite, comme j’aimais t’appeler. Merci pour tout, notamment, le chapô d’un article de presse en économie.

Je me souviendrai de toi également pour ce qui concerne le ministère des Zones économiques spéciales. C’est toi qui m’a ouvert les portes de ce ministère. Dès qu’il y avait un appel en provenance de la tour, au 21ème étage, tu m’envoyais couvrir des audiences, jusqu’à ce que je me suis « accaparée » de ce ministère, où l’on peut y voir ta signature dans le pressbook.

Ton visage disparaît, mais on te revoit à travers tes écrits. Au tréfonds de nos cœurs, ta perte est une horreur. Tu étais quelqu’un d’extraordinaire, tu vas nous manquer aux Dépêches de Brazzaville, mais dans notre cœur tu vivras à jamais, Nancy.

Dieu donne, Dieu reprend, voilà ce que Job, cet homme dépouillé de toutes ses richesses et privé de ses enfants pouvait dire, nul doute qu’à ses yeux, au-delà des larmes, du deuil et de la cendre, il fallait bénir l’Eternel !

« Voici, nous disons bienheureux ceux qui ont souffert patiemment. Vous avez entendu parler de la patience de Job, et vous avez vu la fin que le Seigneur lui accorda, car le Seigneur est plein de miséricorde et de compassion », Jaques 5.11.

Avez-vous le souvenir d'une situation qui a provoqué en vous le refus de bénir Dieu ? Personnellement, j’ai connu des moments tellement durs que ma bouche restait fermée alors que Dieu me demandait d’élever la voix vers lui.

Honnêtement, notre vie est entre ses mains et c’est lui qui en dispose. Notre famille ? Chacun de ses membres, appartient à Dieu, il nous les a simplement confiés. Le reste, c'est encore Dieu, dans son infinie bonté qui nous les a donnés.

Bénir Dieu en tout temps est donc un acte de soumission totale à sa volonté, une attitude par laquelle nous l’honorons et lui renouvelons notre confiance, convaincus que le mot de la fin lui appartient.

Yvette Reine Nzaba

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