Opinion

  • Éditorial

Programme

Samedi 25 Février 2017 - 16:02

Abonnez-vous

  • Augmenter
  • Normal

Current Size: 100%

Version imprimableEnvoyer par courriel


Nous ne sommes pas dans le secret des dieux, mais nous avons les yeux suffisamment ouverts et l’ouïe suffisamment tendue pour percevoir, dans les coulisses du pouvoir, les grands évènements qui se préparent. Et, par conséquent, écrire sans grand risque de nous tromper que le mois de mars 2017 verra le Congo se positionner sur la scène internationale avec autant de force que d’intelligence. Quatre grands évènements se profilent, en effet, dans notre horizon immédiat qui projetteront de notre pays une image radicalement différente de celle que véhiculent de grands médias étrangers avec autant d’ignorance que de cynisme.

° Le premier est d’ores et déjà affiché en bonne place sur le calendrier diplomatique : c’est la Conférence d’Oyo, les 8 et 9 mars, qui marquera très probablement la naissance du Fonds bleu pour le Bassin du Congo.

° Le deuxième sera la tenue, toujours à Oyo, du conseil d’administration de la Brazzaville Foundation qui est à l’origine de cette conférence et qui réunira des personnalités internationales de premier plan.

° Le troisième sera l’ouverture officielle de l’hôpital d’Oyo, l’un des plus modernes de notre pays, que précèdera un colloque universitaire de haute volée sur les problèmes de santé auxquels notre continent se trouve confronté.

° Le quatrième enfin, à six mille kilomètres de là, sera la présence des écrivains congolais au Pavillon des lettres d’Afrique qui sera installé au cœur du Salon International du livre de Paris.

Si l’on ajoute à ce qui précède qu’en marge des rencontres d’Oyo sera inauguré par le président de la République, le 7 mars à N’gol’odoua,  un musée entièrement consacré à la danse initiatique kiebe-kiebe on ne peut que conclure, en effet, que le mois de mars 2017 restera dans l’Histoire du Congo comme un moment clé.

Voilà qui devrait rassurer celles et ceux de nos concitoyens que les difficultés présentes portent à redouter l’avenir et conforter plus que jamais Edith Lucie Bongo Ondimba, là où elle repose à Edou, dans la conviction qu'elle eut raison de se battre tout au long de sa vie pour que sa patrie, notre patrie, parvienne dans la paix à réaliser les grandes avancées qui sont sur le point de se concrétiser aujourd'hui.

 

 

Les Dépêches de Brazzaville

Edition: 

Édition Quotidienne (DB)

Notification: 

Non

Éditorial : les derniers articles
▶ 4/5/2024 | Récemment le 3 mai
▶ 2/5/2024 | Quel sort !
▶ 1/5/2024 | Suspense
▶ 29/4/2024 | Rapprocher
▶ 27/4/2024 | Défilé de chefs
▶ 26/4/2024 | Droit social
▶ 25/4/2024 | Bon remède
▶ 23/4/2024 | Employabilité
▶ 22/4/2024 | Satisfait
▶ 20/4/2024 | Image-texte-son