Protection de l’environnement : Puma Energy présente ses actions au ministre Josué Rodrigue Ngouonimba

Mercredi 9 Avril 2014 - 16:13

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Le directeur général de cette compagnie pétrolière intermédiaire du secteur aval, Michel Bourgois, a été reçu en audience le 9 avril par le ministre de l’Environnement et du Tourisme, Josué Rodrigue Ngouonimba

La société Puma Energy veut étendre son réseau en République du Congo. Elle dispose actuellement de trente-cinq stations-service et entend en construire trois nouvelles, cette année, à Brazzaville, à Ouesso (département de la Sangha) et à Pointe-Noire. Celle de Brazzaville, dont les travaux sont en cours d’exécution, se trouve à Bacongo, dans le deuxième arrondissement.

Installée au Congo depuis plusieurs années, cette société dispose également de deux stations flottantes dans la partie septentrionale du pays, dans le département de la Cuvette (Oyo, Mossaka, Liranga), où elle est très utilisée par les baleinières, les pêcheurs et les populations. Puma Energy a aussi des unités fluviales de transport entre Kinshasa et Brazzaville pour le compte de la Société nationale des pétroles du Congo.

Le directeur général de l’Environnement, Benjamin Dzaba Boungou, qui a assisté à cette première rencontre entre les deux parties, a indiqué que le ministre et son hôte avaient discuté, entre autres, de la possibilité de travailler ensemble dans le cadre de la protection des écosystèmes. « Puma est en train de construire des stations-service dans le respect de la loi sur la protection de l’environnement. Elle a voulu présenter les efforts qu’elle fait dans ce domaine. Le directeur général de Puma Energy  nous a assuré qu’il travaillait dans les normes en respectant les standards internationaux, les lois de la République, notamment la loi sur la protection de l’environnement, le Code des hydrocarbures et les autres textes en vigueur dans notre pays », a-t-il expliqué.

Interrogé sur le lien entre pétrole et environnement, Benjamin Dzaba Boungou a répondu : « Les stations-service s’implantent dans un écosystème donné. Il y a également le volet de la santé humaine avec les émanations qui peuvent s’ensuivre. Voilà pourquoi les sociétés prennent à bras le corps tous ces aspects pour essayer de protéger aussi bien l’homme que tout ce qui entoure la station d’essence, notamment les écosystèmes. »

Parfait Wilfried Douniama

Légendes et crédits photo : 

Josué Rodrigue Ngouonimba s’entretenant avec Michel Bourgois, en présence de son dicteur de cabinet et du directeur général de l’environnement (© Adiac).