Vie associative: le Cipivie présente les civilités au préfet

Dégageant à la presse les principales missions de son association, Roch Borgia Otounou-Ndza, vice président international du Cipivie a expliqué que sa structure se fixe pour  mission de mobiliser la solidarité universelle en mettant en place une synergie, une relation de partenariat nord-sud et sud-sud, dans laquelle toutes les actions convergent vers le bien-être de l’homme.

Cependant, le Cipivie va agir sur les causes liées à la lutte contre la famine, la malnutrition, la misère et le manque d’accès des populations vulnérables aux ressources les plus élémentaires de  la vie, notamment l’accès aux soins  de santé primaires et aux médicaments génériques essentiels, la déscolarisation, la dégradation du système éducatif et autres. « Nous travaillons également sur les questions pratiques liées aux renforcements des capacités dans les différents secteurs de développement humain, à l’éradication des causes structurelles de la marginalisation, de l’ignorance, de la crise des valeurs humaines envers les peuples les plus démunis et les populations autochtones, aux projets communautaires et agropastorales en vue de promouvoir la prise en compte de l’homme, pas comme un objet d’aide mais comme partenaire réel au développement durable, aux projets d’appui aux programmes de reboisement et d’afforestation, dans la perspective de l’émergence de l’économie verte en Afrique sub-saharienne », a dit le vice-président international du Cipivie.

Le préfet de Pointe-Noire a promis examiner minutieusement l’ensemble des documents de travail en souhaitant une cordiale  collaboration entre la préfecture et la Cipivie en vue du bien être des populations du Congo  en général et du département de Pointe-Noire en particulier.