Nouvelle République : Deux associations plaident pour le changement et la rupture

Mardi 12 Avril 2016 - 19:18

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La Dynamique spéciale Sassou pour l’unité et la paix (Dssup) et Po na  ékolo, ont plaidé le 12 avril à Brazzaville pour le changement et  la rupture dans le système politique, en vue  d’un  mieux-être des Congolais.

 

« Rupture et changement dans nos comportements, nos méthodes, dans notre façon d’appréhender et de percevoir la chose publique, mais aussi de la relation que l’homme politique a  vis-à-vis du pouvoir. Rupture vers une société où l’homme politique n’aura pas que des droits mais également des devoirs »,  indique la déclaration commune publiée par les deux associations politiques.

La rupture pour ces deux dynamiques, consiste à mettre le nouveau mandat du président de la République sous le règne du droit, pour une société de responsabilité où chacun devra assumer ses actes.

« La rupture, c’est aussi aller vers une société de solidarité, de partage et d’égalité de chance où chacun peut aider mais aussi tendre la main. Une société d’égalité de chance où les plus méritants d’entre nous peuvent avoir la possibilité d’aller loin. La rupture, c’est  aussi la prise en charge du vœu de cette jeunesse qui s’est mobilisée pour soutenir sans relâche le candidat Denis Sassou N’Guesso  tout en espérant que cette fois-ci leurs doléances seront prises en compte », souligne le texte.

 Pour ces deux associations, tout cela ne peut être possible que si le peuple s’organise autour du chef de l’Etat, afin de  l’encourager  sur la voie de la rupture ou du changement. « Cela y va de sa responsabilité politique et individuelle, tant, vis-à-vis des populations congolaises que de l’histoire du pays ».

 Selon la Dssup et Po na ékolo cet appel au changement et à la rupture dans le système politique, n’est  que le résultat des messages exprimés par les populations lors de la  campagne électorale pour la présidentielle du 20 mars.

En effet, de Brazzaville à Pointe-Noire, de Dolisie à Ouesso, de Kinkala  à Djambala, ces deux dynamiques constatent que les populations  ont demandé du travail pour les jeunes, plus de justice sociale, la lutte contre l’impunité, plus de sécurité, etc. «C’est suite à ce constat que la Dssup et Po na ékolo  appellent au changement et à la  rupture », conclut la déclaration.

 

 

 

Jean Jacques Koubemba

Légendes et crédits photo : 

« Rupture et changement dans nos comportements, nos méthodes, dans notre façon d’appréhender et de percevoir la chose publique, mais aussi de la relation que l’homme politique a vis-à-vis du pouvoir. Rupture vers une société où l’homme politique n’aura pas que des droits mais également des devoirs », a indiqué la déclaration. La rupture pour ces deux dynamiques consiste à mettre le nouveau mandat du président de la République sous le règne du droit, pour une société de responsabilité où chacun devra assumer ses actes. « La rupture, c’est aussi aller vers une société de solidarité, de partage et d’égalité de chance où chacun peut aider mais aussi tendre la main. Une société d’égalité de chance où les plus méritants d’entre nous peuvent avoir la possibilité d’aller loin. La rupture, c’est aussi la prise en charge du vœu de cette jeunesse qui s’est mobilisée pour soutenir sans relâche le candidat Denis Sassou N’Guesso tout en espérant que cette fois-ci leurs doléances seront prises en compte », a, une fois de plus, souligné la déclaration. Pour ces deux associations, tout cela ne peut être possible que si le peuple s’organise autour du chef de l’Etat afin de l’encourager à aller vers cette rupture ou ce changement. « Cela y va de sa responsabilité politique et individuelle, tant vis-à-vis des populations congolaises que de l’histoire du pays. » Cet appel au changement et à la rupture dans le système politique lancé par ces deux dynamiques, n’est que le résultat des messages exprimés par les populations lors de la campagne électorale pour la présidentielle du 20 mars. En effet, de Brazzaville à Pointe-Noire, de Dolisie à Ouesso, de Kinkala à Djambala, ces deux dynamiques ont constaté que les populations ont demandé du travail pour les jeunes, plus de justice sociale, la lutte contre l’impunité, plus de sécurité, etc. C’est donc suite à ce constat que la DSSUP et PO NA EKOLO appellent au changement et à la rupture. Photo : Une vue des militants des deux associations

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