Art-Culture-Média
Le site web, www.fespam.africa, qui fait partie des réformes initiées par le commissariat général du festival, est un site ultra dynamique qui contient actuellement plus de deux mille epages. Sa charte graphique a été inspirée de son logo avec une prééminence du vert et de l’orange sur les autres couleurs.
Selon Hugues Ondaye, le commissaire général, le Festival panafricain de musique (Fespam) étant une institution panafricaine, son nom de domaine a été attribué par l'Union africaine vu sa portée continentale. A cet effet, cette plate-forme numérique permettra aux visiteurs de connaître l’écosystème musical de chaque pays membre de l’Union africaine. Une innovation qui permettra aussi aux organologues, ethnomusicologues et autres scientifiques de pouvoir mener des recherches.
Cependant, il convient de relever que dans la rubrique multimédia, les vidéos ne ... Lire la suite
Le cadre créé par Delavallet Bidiefono fait la promotion de la danse contemporaine au Congo pour pour soutenir la création et l’émergence des projets artistiques.
Baning’Art est la seule alternative indépendante pouvant permettre aux chorégraphes de créer et de travailler. Il est un cadre de résidence, d’accueil, de création, de recherche, de production et de diffusion mis à la disposition des artistes contemporains.
Depuis sa création en 2014, Baning’Art reçoit beaucoup de festivals dont les plus récents sont Bo ya kobina lors de sa quatrième édition et Mantsina sur scène, la quinzième. Des festivals de dimension internationale qui ont connu la participation des grands noms de la danse contemporaine et du théâtre. A la dernière édition de Mantsina, Zora Snake du Cameroun a ébranlé le public avec sa danse intitulée Le départ.
Quant au festival Bo ... Lire la suite
Interview. Arthur Mizère Mambou : « Le rastaman est un comportement positif vis-à-vis de la nature »
Il n’est pas rare de se promener dans la ville de Brazzaville sans tomber sur une personne qui a des locks. Ce look utilisé à la fois par des artistes musiciens et par des citoyens qui veulent se faire beau crée la confusion au niveau de son interprétation. Les commentaires vont dans tous les sens. Les reggaemen, les rastamen et les locksmen en font leur marque. Notre rédaction s’est approchée d'Arthur Mizère Mambou dit Rasta Rezesse, un des premiers rastas dans Brazzaville, qui dégage la différence entre ces trois types de personnages.
Les Dépêches du Bassin du Congo (L.D.B.C.) : Peut-on savoir, d’entrée de jeu, la différence entre un reggaeman, un locksman et un rastaman ?
Arthur Mizère Mambou (A.M.M.) : Le rastaman est un comportement positif vis-à-vis de la nature tout entière. Il a donc le respect de l’eau, de la plante... Bien sûr avec ses ... Lire la suite
Présenté au public le 21 décembre à l’Institut français du Congo (IFC) de Brazzaville, le conte tradi-moderne d’origine Téké est écrit et mis en scène par Esther Ahissou Gayama, marraine de la troupe.
Avec plus d’une vingtaine d’artistes sur scène, le conte-spectacle "WE’LI’I" a réellement marqué les esprits des spectateurs venus nombreux pour l’occasion à l’IFC de Brazzaville. On pouvait bien lire l’émotion et l’émerveillement sur le visage du public, à mesure que le spectacle se déroulait.
Clamé du début à la fin en téké et traduit en voix off en français, "WE’LI’I" qui signifie en langue téké Alima « Est-ce que tu es », n’est autre qu’un voyage sur l’origine existentielle et le retour aux empreintes. A l’heure où certains Africains manifestent un déni profond de leur identité et de leur patrimoine culturel, ce ... Lire la suite
Au Radisson Blu M'Bamou Palace hôtel
*Réveillon du Nouvel An
Date : lundi 31 décembre
Heure : à partir de 20h
Tarifs : 80 000 F CFA –adulte ; 40 000 F CFA- enfant (de 4 à 11 ans inclus). Gratuit pour les enfants de moins de 4 ans.
Détails : Réveillon du Nouvel An avec des animations pendant le buffet « Bonana 2019 ». Une tombola avec un prix à gagner. Ateliers pour les enfants ! une bouteille de champagne offerte pour deux personnes.
info.brazzaville@radissonblu.com
(+242) 05 050 60 60
A l’esplanade de la préfecture de Brazzaville
*Concert-Gospel « Congo loue ton Dieu »
Date : samedi 29 décembre
Heure : 14h30
Entrée gratuite
Chez Sim Aerospace
*Baptême de l’air
Date : samedi 29 décembre
Heure : à partir de 7h 00
Lieu : hall de l’aéroport Maya-Maya de Brazzaville
Ticket :5000 FCFA
Dimanche 30 décembre
Heure : à partir de 14h 00
Lieu : ... Lire la suite
« L’homme naît bon mais c’est la société qui le corrompt », observait Rousseau. La corruption est comprise dans le roman de l'écrivain congolais comme le refus de l’homme de se mettre à l’écoute de la voix de la conscience, laquelle voix donne sens à la vie.
Dès lors, toute tentative de vie construite hors de ce principe n’est qu’opacité. En se vautrant dans la nébuleuse de l’occultisme, le mal devient le critérium de la vie. A la page 32, il est écrit : « (…) Jeanne était devenue experte en pratiques occultes, en sciences du mal. Elle avait d’ailleurs fini par en faire don à toute sa progéniture. » L’occultisme devient la base qui supporte la charpente de tout le pouvoir royal. « J’ai été longtemps dans l’aveuglement, sous l’emprise des forces occultes. J’ai géré le royaume comme eux l’ont voulu sans sagesse ni discernement. ... Lire la suite
Le roman composé de seize chapitres et publié par L’Harmattan est le fruit du regard de l’écrivain camerounais sur son continent. Une peinture des réalités actuelles, multiples et tristes d’une Afrique broyée par toutes sortes de gangrènes.
L’Afrique se perd et recule. Et ce, avec la complicité de certains Africains. L’on peut compter parmi les maux qui la minent : l’homosexualité, la pédophilie, la corruption, l’occultisme, le tribalisme, la xénophobie, le commerce illicite des organes humains, etc.
Dans ces conditions, les habitants sont comme pris au piège de cette misère morale, couplée aux situations sociales défavorables. Terreaux propices aux sombres pratiques qui s’accroissent à une vitesse de croisière. L’auteur les décrit sur un ton pathétique, sans langue de bois, comme la plupart des romanciers camerounais.
Les pratiques décriées se ... Lire la suite
Le très célèbre magazine économique américain a élu le président rwandais comme l’homme de l’année du continent africain, rapporte le site marocain TelQuel. Ce prix vient ainsi récompenser tous les efforts de l’actuel président de l’Union africaine depuis la date du 28 janvier 2018.
Les années 1990 étaient les plus dures pour le pays des mille collines, avec le génocide qui a causé des centaines de morts. Mais depuis l'arrivée de Paul Kagamé à la tête du Rwanda en 2000, ce pays situé en Afrique de l’est est devenu l’une des puissances émergentes du continent. Le retard du génocide a été rattrapé grâce aux investissements dans le domaine de l’éducation, de l’entrepreneuriat, de la santé, de la construction y compris dans la reconstruction citoyenne. C’est ce qui fait que son produit intérieur brut soit multiplié par cinq ... Lire la suite
Après Abidjan, il y a deux ans, la capitale belge s’apprête à accueillir, sous le haut patronage du ministre de la Culture, des arts et du tourisme du Burkina Faso, la présentation de l'événement couplée à son cinquantenaire, suivie d’une soirée spéciale dédiée aux cinémas africains, le 17 janvier 2019.
Sur invitation de son délégué général, le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (Fespaco), dont la première édition était initiée en 1969, s’apprête à fêter son cinquantenaire. A moins de deux mois de cet événement de la grande fête du septème art du continent, prévu du 23 février au 2 mars 2019, « tout est prêt » affirment les organisateurs. Ils affichent la volonté de faire de ce jubilé d’or un moment mémorable.
Pour ce cinquantième rendez-vous, l’équivalent africain du festival de Cannes, ... Lire la suite
Le groupe s'est produit dans la salle de conférence de l’Hôtel de la préfecture, à Brazzaville, dans le cadre du calendrier annuel du programme de l'Église.
C’est sur le thème « Voici Noël » que la Fanfare territoriale junior a célébré la fête de la Nativité du Messi. Quelques groupes ont été invités, à l’instar de la chorale des Porteurs de flambeau territorial (PF), la brigade territoriale des tambourinaires juniors, les tambourinaires juniors (TJ) du Poste de Sangolo et les Booths de Brazzaville. Il y a eu également deux invités spéciaux, Gérald Bantsimba (trompettiste) et Gisda Batola (chanteuse).
Le concert s’est déroulé en deux tableaux. Le premier a porté sur l’exécution de l’hymne national et chant du fondateur, puis s’en sont suivis "Ouverture William Tell"; "Mary’s boy"; "Quatre cantiques de Noël" par la fanfare territoriale ... Lire la suite