Exercice « Loango 2014 » : les autorités militaires saluent l'attitude des populations du Kouilou et de Pointe-Noire

Lundi 1 Décembre 2014 - 15:26

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Le commandant de la zone militaire de défense numéro un, le général de brigade Jean Olessongo Ondaye, a organisé une cérémonie de levée des couleurs le samedi 29 novembre au camp de la base marine Nzoko. Il a dit sa satisfaction pour l’attitude positive affichée par les populations de Pointe-Noire et du Kouilou sans oublier les différents services. Un succès.

« Je saisis cette occasion pour exprimer au nom du haut commandement de la force publique et à mon nom propre, toute la reconnaissance et la gratitude méritées à l’ensemble de la population du Kouilou et de Pointe-Noire, ainsi que les autorités locales pour leur contribution multiforme à la réussite de l’exercice militaire communautaire Loango 2014. Pendant un mois, les chefs de quartier et leurs administrés ont parfois servi de guides aux soldats étrangers, de ce fait  vous avez confirmé le précieux vocale de Pointe-Noire havre de paix » a déclaré Jean Olessongo Ondaye.

Il a également apprécié la discipline observée par l’ensemble des éléments de la force publique des deux départements, le rôle joué par la presse locale dans la couverture médiatique de cet événement avant de rendre un hommage  à ceux de la force publique  qui quitteront les effectifs de l’armée pour la retraite à la fin de l’année 2014.

Saluant pour leur part l’intérêt d’une telle rencontre, Rolland Bouiti Viaudo et Gaétan Victor Oborabassi, respectivement maire de la ville et directeur départemental de la police à Pointe-Noire et au Kouilou ont dit leur souhait de voir continuer une collaboration étroite entre les autorités civiles et militaires avec  l’ensemble des chefs de quartiers en vue de promouvoir les valeurs de paix dans ces départements.  

L’exercice Loango 2014, qui s’est déroulé du 13 au 28 octobre dernier, a regroupé  l’ensemble des composantes des armées des pays de la Communauté économique des États de l’Afrique centrale (Cééac). Celui-ci était principalement basé sur la capacité de déploiement rapide des forces armées de ces États.

 

 

 

 

Séverin Ibara