Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
Idées forces du 19 novembreMercredi 19 Novembre 2014 - 11:38 * « On ne peut pas changer de mentalités sans changer de lois.» Aïcha Barkaoui, Maroc, Docteure en Sciences du Langage, RFI, 16 novembre 2014
* « Dans les bureaux, dans l’administration, on pense qu’étudier Shakespeare ou Molière, cela rend les gens éduqués. Super ! Mais ça n’en fait pas des travailleurs. » Mo Ibrahim, milliardaire anglo-soudanais et entrepreneur dans le domaine des télécommunications, The Africa CEO Forum 2014
* « Le philosophe Aristote disait déjà que lorsque l'économie oublie que la monnaie est un simple moyen et qu'elle en fait une fin, la cité est en danger. » Patrick Viveret, économiste et philosophe, La Tribune, 14 novembre 2014
* « La concentration capitaliste réunit entre les mêmes mains les maisons d’édition, les journaux, les télévisions, les réseaux téléphoniques et la vente d’armement. » Pierre Jourde, Professeur à l’université Stendhal – Grenoble, Le Monde diplomatique, août 2008
* « Si l’on ne croit plus dans la politique aujourd’hui, c’est d’abord parce que le système représentatif a concentré tout le pouvoir de décision au sein des seuls représentants. Il a réduit les citoyens à ne jouer qu’un rôle d’électeur. Sitôt que ses représentants sont élus, le peuple est esclave, il n’est rien. » Pierre Crétois, philosophe-Jean Numa Ducange, historien-Stéphanie Roza, philosophe et Clément Sénéchal, sociologue, Shafagna (site turc), 13 novembre 2014
Jocelyn Francis Wabout Edition:Édition Quotidienne (DB) |