Art-Culture-Média
Le 25 août, c’est dans l’intimité familiale que le patriarche de Vox Africa a fêté son anniversaire en attendant la soirée de gala du 29 août à l’Hôtel Vénus, manifestation à laquelle il a associé une dizaine de ses jeunes homologues à célébrer avec lui également à l’occasion ses six décennies totalisées au devant de la scène.
Son dernier concert, l'octogénaire l’a livré la veille de son anniversaire, le 24 août au bar Fikisi. Lieu fréquenté ordinairement pour les productions dominicales à son affiche, le cadre situé en plein Bandal passe également pour le quartier général de son orchestre, le fameux Vox Africa.
Qu’il se considère comme le « baobab » de la musique congolaise, Jeannot Bombenga, n’a pas tort. Du reste, le Prix national du mérite de la culture et des arts qui lui a été décerné le 4 juillet y fait foi. Son talent ... Lire la suite
Ils ont été nombreux à avoir promis des dons en espèces et en nature à la Miss indépendance 2014 lors de la cérémonie qui s’est déroulée, le 13 août dernier à Sibiti dans la Lékoumou.
Jamais autant des promesses n’ont été faites lors d’une compétition de beauté comme cela a été le cas lors de la huitième édition de l’élection Miss indépendance 2014. Personnes morales et physiques ont pris des engagements pour soutenir la miss indépendance 2014 ainsi que ses dauphines. C’est le cas de la ministre de la Promotion de la femme et de l’intégration de la femme au développement, Catherine Embondza Lipiti.
Sitôt arrivée à Brazzaville, elle est passée à l'acte en remettant une enveloppe d’1 million de FCFA à la miss, une somme de 750.000 FCFA à la première dauphine, 500.000 FCFA à la deuxième dauphine, 300.000 FCFA aux miss charme et ... Lire la suite
Écrit sur la base d’entretiens individuels avec trente-six médecins africains de différentes nationalités, l’ouvrage du médecin et professeur d’éthique médicale livre les diverses réactions affichées par la pratique de la médecine moderne dans le continent face à l’évocation du maléfice par les patients.
Docteur en bioéthique, enseignant d’éthique médicale au Canada ainsi qu’à l’université de Lubumbashi, l’auteur parle de la manière dont les médecins réagissent « lorsque, dans le cadre de leur pratique professionnelle, ils reçoivent des patients convaincus que leur maladie est d’origine occulte, un mauvais sort, un acte malveillant d’un sorcier ». À partir des témoignages de la trentaine de thérapeutes consultés, Olivier Nkulu Kabamba s’est rendu à l’évidence qu’à ce jour, « la sorcellerie est un phénomène qui pénètre ... Lire la suite
Dans le village de Toubab Dialaw, à une centaine de kilomètre de Dakar, en pleine nature au bord de l’océan, des danseurs-chorégraphes de hip-hop, africains et occidentaux, ont vécu une expérience unique, partagée avec un public venu en nombre lors du très beau spectacle de fin de stage du 8 août
Du 14 juillet au 9 août, l’École des sables a reçu une quarantaine d’artistes sélectionnés avec attention, qui ont suivi l’enseignement des chorégraphes Patrick Acogny, Olivier Lefrançois, Ramatoulaye Sarr, Ise Vestegen et David Colas. Tous les styles hip-hop étaient représentés, du cramps au break-dance ! L’objectif de cet atelier était de renforcer les liens entre tradition et modernité, fidèle aux idées de la fondatrice de l’école, la chorégraphe et danseuse Germaine Acogny, qui a créé sa propre technique d’enseignement, mère de la danse ... Lire la suite
Sylvio Prince Debiz N’kanka Bizenga, dit Bizenga Photography, est en passe de devenir un des photographes avec lesquels le tissu culturel dakarois va devoir compter. Ce jeune homme de 23 ans affirme des partis pris esthétiques et fait preuve d’un œil étonnamment aiguisé après seulement un an de pratique. Il faut dire que saa passion pour la photo n’avait pas pu se développer dans sa ville natale, Pointe-Noire, faute d’encouragements et de possibilités de formation
Venu à Dakar après son bac pour étudier la physique et la chimie, il a rencontré des photographes passionnés et participé à des ateliers de formation animés par Awa Mbaye, photographe de presse, à l’Institut français de Dakar. Très vite, il s’est imposé, avec douceur. Car le regard de Bizenga est particulier. Il l’explique d’une voix douce, mais sûre du chemin qu’il a pris : « Certains ... Lire la suite
C’est l’un des résultats le plus attendu de l’atelier régional sur la Traite négrière et le tourisme de mémoire qui sera organisé à Pointe-Noire dans la capitale économique du Congo, du 25 au 27 août prochain.
Dans le cadre de la célébration du 20è anniversaire du projet de l’Unesco « La route de l’esclave », le bureau régional multisectoriel de l’Unesco pour l’Afrique centrale organise, en partenariat avec le ministère de la Culture et des arts, du 25 au 27 août prochain au centre culturel Tati Loutard à Pointe-Noire, un atelier régional sur : La traite négrière et le tourisme de mémoire.
Plusieurs thèmes seront abordés au cours de cet atelier régional qui regroupera plusieurs participants, en majorité des historiens et chercheurs, qui viendront des différents pays de l’Afrique centrale. Une visite du site de Loango, un ancien port ... Lire la suite
Le concert-hommage à l’artiste musicien Franklin Boukaka, organisé le 22 août par le Centre culturel Jean Baptiste Tati Loutard de Mpita à Pointe-Noire a tenu ses promesses. Pendant près d’une heure et demie, les musiciens Kaly Djatou et Justin Obela ont déroulé le répertoire du panafricaniste et poète musicien, mort le 22 février 1972 à Brazzaville à l’âge de 32 ans.
Pour le Centre culturel Jean Baptiste Tati Loutard, réussir ce concert était un pari pour faire découvrir au public l'immense oeuvre de Franklin Boukaka. Depuis la mort de cet artiste en effet, aucun concert grandiose n’a été organisé pour lui rendre un hommage à la dimension de sa brève mais remarquable carrière. En choisissant les musiciens Justin Obela et Kaly Djatou, comme interprètes des œuvres de Franklin Boukaka, Alain-Rock Ngoma, directeur du Centre Culturel Jean Baptiste Tati ... Lire la suite
La Famille Paulinienne de l’Église catholique a fêté, le 20 août, ses cent ans.
À Kinshasa, la célébration de la Fondation Paulinienne a débuté par une messe solennelle dite par le supérieur régional, le père Roberto Ponti, en présence de plus ou moins de cinq cents personnes, à l’espace de la communauté Jacques Alberione située sur la première rue dans la commune de Limete (industriel). Dans son homélie, le père supérieur est naturellement revenu sur la personne du fondateur, le bienheureux Jacques Alberione. Ce dernier célébrait le 20 août de chaque année Saint-Bernard « pour montrer notre reconnaissance au Seigneur, une reconnaissance qui signifie en premier lieu correspondance, adhésion au projet de Dieu », a précisé le père Roberto Ponti.
Deux temps forts ont caractérisé le centenaire de la famille Paulienne à Kinshasa. Il s’agit d’abord ... Lire la suite
L’ancien sociétaire d’Extra Musica et patron de l’orchestre Extra Musica International illuminera le podium du bar La Détente dimanche lors d’un concert qui fera assurément date
Pour que l’ambiance se place au zénith dans ce lieu select où le public est à la fois ambianceur et sapeur, il faut des artistes voluptueux et tranchants. Quentin Moyascko en fait partie, car jouer à La Détente, bar mythique, relève d’une fierté.
Compositeur reconnu, c’est avec des chansons au succès considérable, à l’instar de To Limbisana ou Likasu, que l’artiste retiendra le public qui s’accrochera à la piste du bar situé à Bacongo, dans le deuxième arrondissement. Il est certain que Quentin Moyascko reviendra sur les anciens titres d’Extra Musica, ceux que son public demande souvent, comme Freddy Nelson ou encore Panique totale inclus dans l’album Les Nouveaux ... Lire la suite
Après 44 ans de vie commune, la star et sa compagne se sont dit oui le 9 août devant le prêtre à la paroisse Saint-Joseph avec pour témoins une assemblée nombreuse constituée de membres de la famille, d'amis et de certaines personnalités, dont le Premier ministre, Augustin Matata Ponyo
« Chaque chose en son temps ! » En répondant de la sorte alors que Les Dépêches de Brazzaville lui demandaient pourquoi il avait été aussi long à se résoudre à se mettre en règle avec l’église, Jules Shungu Wembadio, alias Papa Wemba, a sans doute voulu faire référence à l’extrait du livre de l’Ecclésiaste. Quant à la formule ajoutée par la suite, elle passerait bien pour une action de grâce : « C’est le bon Dieu que je remercie. Il nous a faits l’un pour l’autre… »
Heureux d’avoir conduit son épouse, qui est tout de même sa compagne et complice depuis ... Lire la suite