Politique
Le texte a été entériné à l'unanimité par la chambre haute du parlement, le 12 novembre, et vise l’amélioration du cadre juridique en vue de moderniser le secteur.
Proposé par la commission Economie et finance que dirige Jean-Marie Epouma, le projet de loi portant code de l’urbanisme et de la construction, selon la commission, intègre les préoccupations actuelles de la société congolaise, conformément à la Constitution du 25 octobre 2015.
Ce projet fait la synthèse de plusieurs textes existants sur l’urbanisme et l’aménagement. Il corrige le manque de cohérence et l’éparpillement des textes ; le défaut de souplesse et l’inadéquation de certains textes ; l’insuffisance de la prise en compte des préoccupations environnementales et des capacités des administrations chargées de l’urbanisme et de la construction.
Six types d'opérations sont ... Lire la suite
A l’issue de la réunion du bureau exécutif national de leur parti tenue le 12 novembre, à Brazzaville, les membres de cette instance dirigeante se sont dressés contre la malveillance des allégations sur le prétendu "Génocide des Laris au Congo".
Le bureau exécutif national du Mouvement congolais pour la démocratie et le développement intégral (MCDDI) a indiqué que les affirmations d'un prétendu génocide des Laris visent uniquement à susciter et entretenir le ressentiment, la haine ethnique et le repli identitaire qui sont aujourd’hui contraires aux intérêts du Congo et de toutes ses composantes sans exception. Pour cette instance, l’auteur de cet ouvrage a des velléités de manipuler la population à des fins politiciennes.
En effet, ont affirmé les membres du bureau exécutif national du MCDDI, en se fondant sur la définition du mot génocide, il ... Lire la suite

Par la voix du secrétaire général de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), Jean Marc Kabund, la base de la première force politique de l’opposition accorde à son président quarante-huit heures pour renoncer à l’accord conclu dans la capitale Suisse, consacrant Martin Fayulu candidat commun de l’opposition.
La tension était perceptible le 12 novembre à Kinshasa, au siège de l’UDPS, à Limete, où a été convoquée une réunion d’urgence des responsables du parti. Au menu, la désignation, la veille, de Martin Fayulu comme candidat commun de l'opposition à l'issue d'une réunion de trois jours à Genève, sous la médiation de la Fondation Kofi-Annan. Ici, cadres et militants disent non au plébiscite du leader de l'Ecidé qui, dit-on, n’a pas le profil requis pour porter haut l’étendard de l’opposition lors de la présidentielle de ... Lire la suite

D’aucuns ont retenu leur souffle à l’annonce dimanche, depuis Genève, du candidat commun de l’opposition. Désigné par ses pairs pour porter l’étendard de l‘opposition dans la course à la présidentielle, le dirigeant de l’Ecidé est cependant loin de faire l’unanimité. Les réactions en sens divers enregistrées quelques heures après l’annonce du compromis dégagé dans la capitale Suisse sont révélatrices du déficit d’agrément dont souffre déjà le nouveau promu.
À Kinshasa, le tollé a été général dans plusieurs états-majors des partis membres de l’opposition où l’on a crié au scandale. À l’Union pour le Congo (UNC) et à l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), des militants chauffés à blanc ont manifesté à leur manière contre ce choix, prenant ainsi le contre-pied de leurs leaders respectifs dont ils ne ... Lire la suite

A l’issue de trois jours de négociations facilitées par la Fondation Kofi-Annan, à Genève, le choix des sept principaux chefs de file de l’opposition s’est finalement porté sur le leader de l’Ecidé pour incarner les aspirations de cette famille politique qui tient à maximiser ses chances lors du scrutin du 23 décembre prochain.
Contre toute attente, alors qu’il n’était pas pressenti candidat commun de l’opposition au regard notamment de sa popularité relative et sectorielle, Martin Fayulu a néanmoins créé la sensation en déjouant tous les pronostics. Les six autres principaux chefs de file de l'opposition, réunis à Genève, ont jeté leur dévolu sur sa personne à l’issue de trois jours de négociations facilitées par la Fondation Kofi-Annan.
C’est donc le président de l’Engagement pour la citoyenneté et le développement (Ecidé) qui portera, ... Lire la suite
La session diplomante qu'organise l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, du 12 au 17 novembre, est une initiative des présidents du Sénat, Pierre Ngolo, et de l’Assemblée nationale, Isidore Mvouba.
La formation au profit des fonctionnaires parlementaires du Congo et de la République démocratique du Congo s’inscrit dans le cadre du renforcement de la synergie entre l’Assemblée parlementaire de la Francophonie et les opérateurs de la Francophonie. Elle a pour objectif de permettre aux participants de renforcer leurs compétences indispensables à une meilleure maîtrise de leurs fonctions.
Il s’agit également, à travers cette formation qui sera sanctionnée par un diplôme d’université en administration et organisation du travail parlementaire, d’outiller les fonctionnaires parlementaires afin qu'ils arrivent à identifier et coordonner les ... Lire la suite
À la faveur de la deuxième session extraordinaire du bureau politique du parti, tenue le 10 novembre à Brazzaville, les membres de cette instance ont fait le point des activités de leur organisation depuis le premier congrès extraordinaire de 2015*.
Les membres du bureau politique de l'Union des forces démocratiques (UFD) ont rendu public le point de vue de ce parti sur les derniers développements de l’actualité nationale.
Dans son discours de circonstance, le président de ce parti, Josué Rodrigue Ngouonimba, a rappelé aux participants le contexte national dans lequel se tenait la réunion, marqué par la crise financière, avant de saluer le retour de la paix dans le Pool suite à la signature, le 23 décembre 2017, de l’accord de cessez-le-feu et de cessation des hostilités.
Les participants à cette réunion ont examiné également le mouvement d'hystérie ... Lire la suite
La structure, composée essentiellement des partis politiques signataires du mémorandum du 23 juin 2018, a tenu, le 10 novembre à Brazzaville, sa session inaugurale sous l’égide de Pascal Tsaty Mabiala.
Le Conseil de l’opposition congolaise a été mis en place pour redynamiser cette famille politique, conformément à l’esprit du mémorandum. Il compte au total soixante membres dirigés par Pascal Tsaty Mabiala, chef de file de l'opposition, suivi de Guy Brice Parfait Kolélas, président de l’Union des démocrates humanistes et de Michel Mboussi Ngouari, leader du Mouvement national pour la libération du Congo.
Cette instance de l’opposition a pour missions, entre autres, d’élaborer la feuille de route et d’adopter le programme d’activités de cette plate-forme, en vue de lui permettre de mener à bien ses actions politiques, dont l’essentiel repose sur ... Lire la suite

L'opposant congolais était l'un des invités de la conférence annuelle de l'Association juive européenne qui s'est tenue dans la capitale belge, , les 6 et 7 novembre. Il a profité de cette occasion pour lancer un appel à la communauté juive afin qu'elle aide la République démocratique du Congo (RDC) en cette période qu'il a qualifiée de «temps difficiles». «Ce fut pour moi l'occasion d'insister sur la paix entre les religions et de demander à la communauté juive du monde entier d'aider la RDC en ces temps difficiles. Nous continuons la lutte pour un Congo meilleur et uni avec l'aide de Dieu », a déclaré l'opposant congolais, cité par zambiareports,com. Moïse Katumbi est le fils d'un juif séfarade grec, Nissim Soriano.

Alors que l’échéance du 23 décembre fixée pour la tenue des scrutins avance à grand pas, la machine à voter censée être utilisée continue d’alimenter le débat.
Jusqu’à ce jour, la controverse suscitée par le recours à la machine à voter, présentée comme technologie avant-gardiste lors des élections du 23 décembre, ne faiblit pas au sein d’une classe politique divisée entre pro et anti cet outil, sans espoir de parvenir à un entendement consensuel sur cette question. Curieusement, plus le temps s’égrène, plus la polémique tend à se corser en devenant très technique. À ce jour, le débat reste circonscrit autour du fameux QR code qui, d’après les experts, est un code à barres à deux dimensions qui permet d'encoder des données et de comptabiliser les votes à l’issue d’un scrutin.
Pour une bonne frange des candidats à la présidentielle, ... Lire la suite