Société
Inventée en 1930 par un jeune parisien Guilly d’Herbemont, la canne blanche est le symbole de la cécité et de la malvoyance. Elle permet aux personnes vivant avec handicap visuel de se déplacer dans la rue, prévenant ainsi les automobiles et piétons de leur présence.
Le président de l’ONG « Viens et vois », Emerson Massa, a expliqué à l’opinion nationale que la canne blanche, qui sert à l’orientation et à la mobilité des personnes vivant avec handicap visuel, est acquise à travers des dons et legs avec l’appui des organismes internationaux. L’utilisation de ce bâton doit interpeller les personnes valides à prêter attention aux non-voyants, chaque fois qu’ils sont en difficultés. « Nous déplorons la non-prise en considération de la journée internationale de la canne blanche car nous remarquons une stigmatisation à l’endroit des handicapés ... Lire la suite
L'accord conclu entre les deux collectivités locales, le 2 novembre, est fondé sur la répartition de la collecte des recettes fiscales.
Le conseil départemental et municipal de Pointe-Noire a été représenté par son président, Jean François Kando, tandis que le conseil départemental du Kouilou l'a été par son président, Alexandre Mabiala. La cérémonie s'est déroulée à l'Hôtel de ville de Pointe-Noire, en présence d'Alexandre Honoré Paka et Paul Adam Dibouilou, respectivement préfet du département de Pointe-Noire et préfet du département du Kouilou, accompagnés d’autres autorités civiles et militaires de ces départements. L'accord stipule que depuis 2003, année de la mise en œuvre effective de la décentralisation au Congo, les recettes fiscales concédées aux collectivités locales du Kouilou et de Pointe-Noire sont reversées en totalité et ... Lire la suite

L'association de promotion et de défense de la liberté de la presse, Freedom for journalist (FFJ), a accusé, le 2 novembre à l'occasion de la journée internationale de la fin de l'impunité pour les crimes commis contre les journalistes, les décideurs politiques d'être de mèche avec les fossoyeurs de la presse.
L’Organisation non gouvernementale (ONG) a déploré l’impunité dont jouissent les bourreaux des journalistes, souvent identifiés parmi les détenteurs de la puissance publique en République démocratique du Congo (RDC). Dans sa déclaration officielle pour la circonstance, elle note que « toutes les typologies des violations des droits civils et politiques ont été commis en cette année 2017, allant de la disparition à l’entrave à la libre circulation de l’information, où des journalistes et des médias ont été empêchés, par des moyens d’Etat, ... Lire la suite
Et si le monde était régi par des codes ? Ce sont ces signes et symboles qui nous guident, nous orientent et nous servent de repères. Ainsi parle-t-on de « Code de la route ». Certains sont écrits, d’autres ne le sont pas. Il y en a d’universels et d’autres qui sont propres à une communauté, à un peuple, à une profession ou un corps de métier, à une catégorie d’âges, etc.
On connaît le symbole qui représente la pharmacie comme on connaît celui qui représente l’aéroport. Dans certaines zones, il existe des panneaux pour renseigner sur la présence des explosifs ou le passage des trains. On convient que le code est une forme de langage tacite, mais entendu, et compris par le fait de la pratique ou de l’habitude.
Quand on arrive à Brazzaville, à Ouesso, à Komono ou à Mossaka, il y a des codes essentiellement compris par ceux qui y habitent, ceux ... Lire la suite
L'appel pour accompagner les comités de femmes dans la sensibilisation, la mobilisation et le recrutement des jeunes enseignantes a été lancé par le Réseau des enseignantes syndicalistes de l’Afrique centrale (Resac), le 1er novembre, lors d’un atelier régional à Brazzaville.
La rencontre des enseignantes de la sous-région s'est tenue pendant deux jours. A l'issue de celle-ci, elles ont demandé aux syndicats d’instaurer une politique du genre dans les mouvements syndicaux et de mettre à la disposition du comité des femmes les 30% de cotisations pour les activités planifiées.
A l’endroit du Réseau africain des femmes en éducation (Rafed), elles ont recommandé la poursuite de l’encadrement et le soutien du Resac, ainsi que le décaissement à temps des fonds alloués aux activités des comités du Resac.
Les femmes ayant pris part à l’atelier de ... Lire la suite
Un atelier de sensibilisation des hommes des médias à la question a été ouvert le 2 novembre, à Brazzaville, par la représentation du Haut-commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) et le gouvernement congolais.
L'activité qui va durer deux jours a lieu dans le cadre du troisième anniversaire de la campagne décennale pour l’éradication de l’apatridie et a pour objectif de faciliter la compréhension des questions y relatives. Elle vise également à mettre en place une plate-forme et élaborer un plan de communication pour la prévention des cas d’apatridie et de protection des apatrides.
Si les personnes dépourvues de pièces d’Etat civil sont considérées comme apatrides, il faut signaler que l’apatridie, qui touche 10 millions de personnes dans le monde, dont six millions d’enfants, peut survenir de diverses manières. Parmi les causes, on ... Lire la suite
Klaus Peto Schick a discuté le 2 novembre, avec le ministre de la Recherche scientifique et de l’innovation, Martin Parfait Aimé Coussoud Mavoungou, sur la recherche scientifique et l’innovation technologique en vue de renforcer la coopération entre les deux pays et trouver des moyens d’œuvrer ensemble, a expliqué l’ambassadeur à sa sortie d’audience.
Ils ont également abordée d'autres points tels, la cartographie; la recherche et le développement; l’innovation de la technologie ainsi que le jumelage de Brazzaville et Dresde. Ce jumelage permettra aux étudiants et chercheurs congolais de bénéficier des avantages dans le cadre de la recherche scientifique, a précisé Klaus Peto Schick. « La recherche scientifique a été déjà élaborée entre les deux pays en matière de santé en ce qui concerne les maladies tropicales, la tuberculose et le ... Lire la suite
La commémoration en différé de l'événement à Brazzaville a été une occasion, pour le ministère de la Jeunesse et de l’éducation civique, de s'entretenir le 2 novembre, avec des élèves de quelques établissements scolaires de la place.
L’objectif principal de la célébration a été la vulgarisation du mouvement « Sois le futur aujourd’hui ». Ce mouvement place les jeunes au premier rang du développement de l’Afrique et de l’exploitation du dividende démographique ainsi que du lancement du référentiel du modèle de l’Union africaine. Commémorée en différé en 2017, cette journée a eu pour thème : « La jeunesse africaine pour un dividende démographique ».
Les vulgarisateurs du concept dividende démographique ont expliqué aux lycéens l’impérieuse nécessité qu’a l’Etat d’élaborer les politiques de développement dans les pays ... Lire la suite

Dans cette interview accordée au Courrier de Kinshasa au terme de ses exposés instructifs à l’intention de ses pairs, les 30 et 31 octobre, le médecin est revenu sur la nécessité de la création d’une mutuelle de santé pour assurer des soins de qualité à toute la corporation médicale. "Les généralités sur la mutuelle de santé" et "l’Exposé sur les paquets de soins et la liste des hôpitaux" qu’elle a proposés à l’atelier de renforcement des capacités des médecins du Syndicat national des médecins (Synamed) sur la sensibilisation à la mutuelle de santé a nourri les débats dont l’intérêt était manifeste pour la cinquantaine des participants à ces travaux.
Le Courrier de Kinshasa : Comment devrait-on vous présenter à nos lecteurs ?
Irène Nsadiolanda : Je suis Dr Irène Nsadiolanda, responsable des médecins conseil au Programme national de ... Lire la suite
A la faveur de la date du 1er novembre, de nombreux Congolais se sont rendus au cimetière d’Itatolo, dans la banlieue nord de Brazzaville, pour se recueillir sur les tombes de leurs parents défunts.
Munis de machettes, pelles, râteaux et gerbes de fleurs, les Congolais n’ont pas dérobé à la tradition. Ils ont pris d’assaut, dès les premières heures de la matinée, le cimetière municipal d’Itatolo et ses environs pour nettoyer les tombes de leurs regrettés parents.
Ce geste, bien que symbolique, est une manière pour eux, de témoigner leur gratitude et de se souvenir de leurs proches rappelés à Dieu.
« Nous sommes le 1er novembre, fête de la Toussaint. Je suis venu nettoyer la tombe de mon regretté père ; une manière pour moi de lui témoigner ma reconnaissance », a confié Bertrand, rencontré devant le sépulcre de son défunt père, au cimetière ... Lire la suite