Art-Culture-Média
Cardy Cardelin Babakila, directeur du Festival de théâtre scolaire de Pointe-Noire (FTSPN), a été reçu récemment par Emma Mireille Opa, directrice de cabinet du ministre de la Culture et des Arts. L’initiateur du FTSPN est venu solliciter auprès du ministère de tutelle son apport et son soutien afin de pérenniser cet évènement.
Depuis sept ans, Cardy Cardelin Babakila organise annuellement le FTSPN, une activité qui participe dans la promotion des activités artistiques en milieu scolaire eu égard à l’engouement suscité à chaque édition.
Seulement, cet évènement ne vit que grâce à la volonté et à l’abnégation de son directeur assisté de temps à autre par quelques partenaires et sponsors occasionnels. Cardy Cardelin souhaiterait un apport plus prononcé du ministère de la Culture et des Arts puisque l’activité fait la promotion de la culture en milieu ... Lire la suite
L’artiste compose ce maxi single à l’occasion de la journée mondiale de la femme, le 8 mars. Sa sortie est prévue en mi-février. Ce maxi single à deux titres dans lequel l’artiste honore la femme congolaise en particulier et africaine en général.
MB le prophet, de son vrai nom Mbawou Fany Arnaud est un artiste musicien congolais qui fait de la musique éducative. A travers ses chansons, il conscientise et édifie les jeunes congolais et africains au respect aux mères. « J’honore à travers mon maxi single cette femme qui a combattu pour obtenir la liberté, l’égalité au sein de la société congolaise. C’est elle qui nous donne la vie. Respect à nos mamans. Ainsi, j’appelle toutes les mamans à soutenir ce maxi single » , a indiqué l’artiste. Et d’ajouter, « c’est vraiment désolant et triste quand je vois la jeunesse africaine en train de ... Lire la suite
La cérémonie de présentation et de dédicaces du dernier recueil de poèmes du conseiller spécial du chef de l’Etat, Claude Ernest Ndalla dit "Graille", aura lieu le 3 février à 14 heures 30, dans la salle de presse du ministère de la Culture et des arts.
Edité par l’harmattan à Paris, en France, « Dipanda, la vie dangereuse » est préfacé par Lecas Atondi Monmondjo. Ce recueil de poèmes compte 230 pages, dans lequel l’auteur évoque l’ensemble de ses viriles poésies.
À l’ouverture de la cérémonie de présentation, une courte interview de l’auteur sur son itinéraire et son œuvre sera projetée, suivie d’une critique de l’œuvre entrecoupée de la lecture des poèmes par des comédiens professionnels. Celle-ci, connaitra également une mise en situation du poète Claude Ernest Ndalla.
Le président de l’Association générale des ouvriers du Congo (AGOC), Josué Christopher Bassangatala, a commenté le 31 janvier à Brazzaville, l’ambitieux partenariat à sceller avec l’Ecole de peinture de Poto-Poto.
Ladite coopération portera sur la fourniture des boîtes de peinture et pourra bien s’étendre sur d’autres domaines professionnels.
« J’ai choisi la peinture parce que j’ai une forte expérience en la matière. Nous avons une forte expérience dans la fabrication de la peinture à base du charbon de bois, des copeaux, de tessons de bouteilles, et de matières plastiques jusqu’à la vente. Nous tenons au climat tropical pour adapter la qualité de la peinture que nous fabriquons », a indiqué Josué Christopher Bassangatala.
Initié dans l’art de la peinture par le défunt peintre Lorient Dinga, le président de l’AGOC compte multiplier cette ... Lire la suite
De son vivant, Ekiaye-Ackoly Wamene avait pour crédo la responsabilité et la crédibilité de la presse congolaise. La Semaine Africaine a du reste fait écho à ce combat à travers une interview publiée aux Dépêches de Brazzaville n° 819, parues le mardi 15 septembre 2009 à la suite du discours d’investiture du président de la République, Denis Sassou N’Guesso. Alors Vice-président du Conseil supérieur de la liberté de communication, Ekiaye-Ackoly Wamene appela les professionnels congolais des médias à «marquer la rupture » pour «devenir davantage crédibles ».
Il y a six ans, jour pour jour, que la mort, cruelle, arracha à l’affection de ses parents, amis et connaissances et, surtout, à celle des professionnels de l’information et de la communication, un professionnel rompu, une des figures emblématiques de la presse congolaise et même africaine, en ... Lire la suite
Paru aux éditions Alliance kongo et le forum des gens de lettres, le livre de Ramsès Bongolo défend le snoprac, un style qui n’obéit pas aux recommandations académiques classiques. Ce style a été créé par l’écrivain congolais Benoit Moundelé Ngollo. La cérémonie de présentation et de dédicaces a eu lieu, le 27 janvier à Brazzaville.
Dans ce roman de 284 pages, le premier pionnier de l’écrivain Benoit Moundelé Ngollo apporte les éléments qui expliquent ce style. Le snoprac est un style propre à Benoit Moundelé Ngollo, qui n’obéit pas aux recommandations académiques classiques. Celui - ci a fait couler et continue à faire couler beaucoup d’encre et de salive dans le monde littéraire congolais. Ramsès Bongolo s’est inspiré de ce style exceptionnel pour écrire « A propos de snoprac ».
Pour lui, le snoprac n’est pas une bizarrerie ... Lire la suite
Le roman a été présenté et dédicacé le 27 janvier à Brazzaville, en présence des hommes de lettres et critiques littéraires. Dans cet ouvrage, l’auteure aborde l’éternelle problématique des inégalités homme-femme au Congo, avant de souhaiter la participation de la femme afin que les deux genres contribuent tous au développement du pays.
Paru aux éditions L’Harmattan-Congo en octobre 2016, le roman « Genre et développement en République du Congo » veut promouvoir l’égalité homme-femme au profit de la croissance.
Cet ouvrage dédicacé sous la direction du Pr Théophile Obenga rend compte du lien de causalité entre l’amélioration de la parité homme-femme et l’impérieuse nécessité du développement en République du Congo.
Préfacé par Michel Courcelles, ce livre compte 120 pages, et se subdivise en trois grands chapitres. Dans le premier, ... Lire la suite
Il aurait pu devenir ingénieur, comme bien de ses compatriotes fréquentant l’école agronome de Mouindi, à Dolisie, dans le Niari, dans les années 1950. Mais il a choisi la musique, poussé sans doute par le mystère du destin qui veille en chacun de nous. Michel Boyibanda a forgé sa longue carrière aux travers de rencontres inattendues, voyageant entre Brazzaville, Pointe-Noire, Kinshasa et Paris. À 74 ans, aujourd’hui, s’il porte son âge, « Vieux Bobo », expression française parfaite, garde en mémoire le moindre détail de l’itinéraire qui en a fait l’un des grands noms de la rumba congolaise éternelle. Entretien.
Dans notre modeste lieu de causerie où il vient de prendre place, nous lui balançons "Sélenga", l’un de ses grands succès avec « les Trois frères », le groupe qu’il a monté avec Loko Massengo et Youlou Mabiala, en 1978, à ... Lire la suite
Du 17 au 21 juillet 2017, le festival Alphabet Africa prendra ses quartiers à Brazzaville et Oyo. Les grandes lignes de cette édition prometteuse seront annoncées dès le mois de mars à Montpellier, Paris, Barcelone puis à Londres.
Organisé par l’association Enfants du Congo-Enfants du Monde le festival Alphabet Africa entend renforcer les efforts réalisés en matière dʼalphabétisation au Congo, en apportant des outils pédagogiques ludiques dʼimpact rapide.
L’engagement de cette association a conduit son fondateur, Jean Paul Wabotaï a initié il y a quelques années pour la première fois au Congo la méthode Alphabet Africa constituée d’un ensemble de matériels éducatifs innovants, intemporels, ludiques, conçus pour apprendre en sʼamusant, à lʼécole ou à la maison.
Ainsi, pour cette troisième édition, les organisations visent la construction de 100 ... Lire la suite
Réalisateur, acteur et photographe d’origine congolaise vivant à Bruxelles, Nganji Mutiri vient de réaliser le film « Le Soleil dans les yeux ». Dans cet entretien, il explique le contexte de réalisation de cette nouvelle œuvre ainsi que sa démarche artistique.
Les Dépêches de Brazzaville : Pourriez-vous résumer le film et le message principal qu’il contient ?
Nganji Mutiri: le film est basé sur l’histoire d’Amani, un jeune homme belgo-congolais, partagé entre ce que l’on attend de lui et ses propres aspirations. Ce que je souhaite que l’on retienne de ce film est que pouvoir s’exprimer sincèrement est d’abord une lutte intérieure avant d’être, parfois, une lutte contre des personnes qui nous sont proches. Ici, en l’occurrence, c’est la famille. Le personnage d’Amani a une frustration que l’on perçoit dès le début du film et qui ... Lire la suite
