Art-Culture-Média
Le groupe se rendra dans cinq pays, otamment en République démocratique du Congo, en Angola, en Ouganda, au Rwanda et au Kenya. Ce projet a pu être réalisé grâce à l’Institut français du Congo et à l’implication personnelle de Marie Audigier, la directrice déléguée, en collaboration avec le chorégraphe Herman Diephuis et des artistes danseurs.
L’occasion est donnée aux cinq danseurs de la compagnie CAP Congo que sont Juvhet Badinga, Vesna Mbélani, Maël Minkala, Karel Kouelany, Loïc Ngoukou et Cléo Kongono de confirmer leur talent autour d’une danse fondée sur le roman "Jazz et vin de palme" d'Emmanuel Dongala, publié en 1982, aux éditions Hatier, dans la collection Monde Noir.
C’est à la suite de deux semaines d’ateliers de danse contemporaine destinés à dix-neuf jeunes tenus à l’IFC que le projet CAP Congo sera créé. Après un casting ... Lire la suite
La jeune artiste a intégré l’École de peinture de Poto-Poto, dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, Moungali, depuis 2009. Malgré les stéréotypes qui environnent cet art, pour elle, la peinture c’est tout une culture, un style de vie et un symbole de notre identité.
Née le 10 janvier 1993 à Brazzaville, Sarah Princilia Ngotieni est une femme au foyer et mère d’un enfant, qui imprime depuis près de dix ans sa marque au sein de l’École de peinture de Poto-Poto. « Nous ne sommes pas nombreuses à exercer ici. Ce qui est d’ailleurs dommage », a-t-elle fait remarquer.
Après un baccalauréat en lettres, la jeune fille poursuit ses études et obtient une licence en droit des affaires. Pourtant, en elle, brûlait toujours cette passion pour le dessin et la peinture.
Quitte à se mettre tout le monde à dos, Sarah décide d’associer droit et peinture. ... Lire la suite
La Congolaise de 21 ans a marqué le jury, le 28 février, à Brazzaville en remportant devant dix autres candidates le sacre de la troisième édition de Miss University Africa pour le Congo. Elle représentera son pays l’année prochaine au Nigeria à ce concours qui célèbre non seulement la beauté mais surtout l’intelligence.
En présence de la reine Marlise Saur, Miss University of Africa sortante et marraine de l’événement, les dix candidates congolaises se sont donné corps et âme pour remporter la couronne. Au fil des challenges, cinq d’entre elles ont attiré l’attention des membres du jury qui les ont soumises à plusieurs critères de sélection fondés sur l’élégance, la beauté et l’intelligence. Ces belles créatures devraient avoir une taille moyenne de 1,73m, un visage sans défaut, des formes proportionnelles à leurs tailles et un poids de plus ... Lire la suite
L' événement culturel axé sur le hip-hop a démarré le 6 mars, à l'ex-Cercle civil, et prendra fin le 10 mars.
Organisé par la Maison de la jeunesse et des cultures urbaines située non loin de l’école publique Mbota Raffinerie (arrondissement 5, Mongo Mpoukou) sur le thème « Hip-hop participatif et développement des carrières», Ponton urban week est un cadre d’échange et de création des ponts et connexions entre artistes et acteurs de divers horizons. Le coup d’envoi de la deuxième édition a été donné avec l’avant-première du concert live de Lionnel Kombo de Bayonne, accompagné de la chanteuse Spirita Manda, qui a donné un avant-goût de cet événement qui s’annonce déjà très chaud. La prestation a été précédée d’une conférence de presse au cours de laquelle a été dévoilée la programmation.
Plusieurs activités ont été retenues ... Lire la suite
Le nouveau single de l’artiste musicien congolais fait déjà parler, en moins d’une semaine seulement sur le marché du disque.
Le titre "To bina" vient compléter les neufs autres que comporte l’album "Multicolor" et apporte une touche universelle dans la musique congolaise. Fruit des expériences de Djoson Philosophe dans les pays ouest africains et hispaniques, "To bina" (Dansons en français) est un générique qui expose les risques que courent les personnes qui se baladent sans pièce d’identité. Dans cette chanson au style presque nouveau, l’artiste transporte les amoureux de la bonne musique dans un univers gai.
Cette animation est disponible sur toutes les plates-formes de téléchargement légales. Djoson Philosophe offre au public les cris éducatifs comme "Ngobila", "Okoboma nga lelo" ainsi que "Vitesse égale à danger". De son vrai nom Maurin Jonathan ... Lire la suite
L'espace culturel de Brazzaville a accueilli l'artiste musicien, le week-end dernier, à l’occasion de la présentation de son album "Symbiose", sorti le 14 février dernier en France. Sa prestation a été riche en couleur avec des interprétations des vieilleries de l’orchestre Zaïko Langa Langa auquel il a rendu hommage dans cet opus.
Le concert livré a comblé les attentes du public qui venait découvrir le talent de Didier Samba, alias Sam Talanis, un artiste musicien du Congo-Brazzaville. Dans un style musical teinté de zook, de rumba, de salsa et de reggae, il a fait danser toutes les générations, de 7 à 77 ans, présentes à ce spectacle. « C’est un album qu’il faut avoir impérativement dans sa discothèque. Il n’y a pas de monotonie ; il y a des retours très positifs. J’ai été accompagné dans cet album par des Cubains. Il est l’opus le plus ... Lire la suite
Le finaliste des scènes Tremplin, organisées par l’Institut français du Congo en fin 2018, vient de mettre sur le marché du disque un nouveau single éducatif.
Le single "Na bomi moto", autrement dit j'éteins le feu, a été lancé le 16 février dernier. Ce titre dénonce le comportement malsain des jeunes qui utilisent la violence comme seule solution à leurs différends; des bagarres qui causent parfois des pertes en vies humaines. Dans un style appelé rap folklorique (mélange du rap et du folklore), Auge Paterne Okanda-Otou, de son vrai nom, invite ses compatriotes à prendre conscience et à contribuer à la construction de la nation.
"Na bomi moto" est disponible sur toutes les plates-formes légales de téléchargement. Dans ce son qui dure environ trois minutes, l’artiste met en pratique son art à travers un texte responsable et éducatif. La bonne combinaison ... Lire la suite
Bourses complètes pour les étudiants à la maîtrise en 2019-2021 à l'Université de technologie de Delft, aux Pays-Bas
Date limite : 1er avril 2019
Université étatique : université de technologie de Delft (TU Delft)
Spécialités : toutes les spécialités
Niveau d'études : troisième cycle
Critères d’éligibilité : citoyens étrangers venant de toutes les régions du monde
1) Votre ou vos diplômes universitaires d'origine : si un diplôme est rédigé dans une langue autre que l'anglais, le français, l'allemand ou le néerlandais, une traduction certifiée conforme est également requise.
Ou si vous n'avez pas encore obtenu votre diplôme. Une attestation certifiée de votre université confirmant le type de diplôme que vous obtiendrez et le moment de l'obtention de votre diplôme.
2) Une copie de votre relevé de notes officiel, recto et verso, dans la langue ... Lire la suite
Le prolifique écrivain congolais publie son premier roman. Edité à Pointe-Noire par Les lettres mouchetées, dans la collection Mbongi, ce roman relate l’histoire émoustillante d’une fille de joie.
Kosia-Iris est presque une nymphomane qui construit sa fortune grâce à une interminable liste d’amants. Chacun, PDG, ministres, officiers, hommes d’affaires ou d’église, etc., victime de son irrésistible beauté, passe dans la vie de la jeune courtisane comme on tourne les pages d’un suave récit.
C’est un personnage futé dans l’art de la séduction. A son passage, elle laisse derrière elle trouble et désolation. Des foyers, des vies et des cœurs brisés. Après moult aventures et déceptions mêlées, elle parvient à attirer l’attention d’une nouvelle victime. Un homme au portefeuille bien garni sous la peau d’un bon père de famille.
Comme une larve ... Lire la suite
L'essai de cent-quarante-quatre pages, édité par Hemar en 2017, est le fruit de la réflexion d’une femme officier des Forces armées congolaises. L'auteure mène une plaidoirie qui valorise et encourage la femme congolaise dans la défense de sa patrie.
En mai 1997, dans "Le manguier, le fleuve et la souris" (Editions Jean Claude Lattès), Denis Sassou N’Guesso faisait déjà la description ontologique des capacités managériales de la femme. « (Les femmes) elles ont, pour elles, le réalisme, un sens concret qui fait souvent défaut aux hommes, une conscience élevée du prix de la vie qui leur permet d’être plus attentives aux malheurs et plus tolérantes aux erreurs, une imagination fertile, mais aussi une rigueur intellectuelle dont elles tirent des solutions souvent pertinentes pour régler des problèmes apparemment insurmontables. Bref elles sont non seulement ... Lire la suite