Littérature : écrire l’Afrique, une passion pour Alain MaufinetJeudi 25 Août 2022 - 19:45 Qui est l’homme ? Comment s’est-il frayé la route vers le continent africain pour en être le porte-parole ? N’en prenez pas ombrage. En effet, après avoir suivi les écrits des auteurs anciens : Chateaubriand, Victor Hugo, Balzac, Stendhal... Alain Maufinet sillonne longtemps l’Est de la France sous l’uniforme.
Puis publiant le roman « Les larmes du désert » (Livre Actualité) avec son nom, il participe également au recueil de nouvelles Prix Gérard de Nerval, avec seize auteurs, « Un cadavre dans les dunes » (Arthémuse). Dans l’intervalle, il préface deux romans du philosophe malien Fousseni Togola, « Bintou, une fille singulière » et « L’homme sirène ». C’est alors qu’il rejoint JDH éditions. Son roman, « Le chant des brisants », inaugure la nouvelle collection littéraire : Magnitudes. Lors du premier confinement, Alain Maufinet participe avec d’autres auteurs à la publication de « Coronavirus, la dictature sanitaire » (collection Uppercut), « Stupeur et Confinements », « L’année s’annonçait belle, avec deux 20 » (Les Collectifs). Puis, à « Nos violences conjuguées. » et « À Sylvie, éphémère rencontre » (Les Collectifs). Proposant, par ailleurs, des préfaces de romans de deux grands auteurs (Collection Atemporels) : Le colonel Chabert de Balzac, puis Aziyadé de Pierre Loti, l’an dernier il signe chez JDH éditions un collectif et deux nouveaux romans (collection Nouvelles pages) : « Les volets rouges » (collection Black files), « L’ombre de Marrakech », et « Otage au Mali » le tout récent. Ecrire l’Afrique est pour Alain Paufinet une passion, liée à des souvenirs et à une expérience dans ce continent, particulièrement au Mali en dénonçant dans son roman le martyre que vit ce pays à cause des terroristes qui, depuis 2012, font régner un climat morose au Sahel. Aubin Banzouzi Légendes et crédits photo :Photo: Alain Maufinet Notification:Non |