Pompes funèbres municipales : Abraham Ibela à l'écoute des doléances des travailleurs

Mardi 10 Septembre 2013 - 19:24

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Après s'être rendu à la clinique municipale Albert Leyono, le secrétaire général de la mairie centrale, Abraham Ibela, a poursuivi sa série de visites ce mardi 10 septembre, en allant aux pompes funèbres de la ville capitale

Au cours de cette descente, le secrétaire général est allé non seulement visiter les installations des pompes funèbres mais surtout écouter les doléances des travailleurs. S’adressant à ces derniers, le secrétaire général a d’abord signifié aux administrés des pompes funèbres, le but de sa visite. « Je suis venu vous voir parce que quand on arrive dans un village, on doit chercher à se faire connaître. C’est avec vous que l’on va travailler. Je suis donc venu me présenter à vous. Vous avez certainement des problèmes comme dans toutes les administrations de Brazzaville.  Etant donné que vos doléances relèvent de mes compétences, je vais tant soit peu chercher des solutions et pour ce qui dépassera mes compétences, je transmettrai à qui de droit », a-t-il déclaré.

Parmi les problèmes évoqués par Abraham Ibela, citons notamment le nombre insuffisant de corbillards pour satisfaire la demande des usagers. À ce sujet, Abraham Ibela a informé le personnel de l’acquisition par la mairie centrale de quinze corbillards dans un premier temps et de trois autres plus tard. Quant à la nouvelle morgue qui n’est toujours pas fonctionnelle même si elle a été inaugurée par le député maire, Abraham Ibela a expliqué que c'était un problème d’électricité à l'origine de ce retard. « Un avenant vient d’être pris pour l’acquisition d’un groupe  électrogène afin de mettre en marche le premier module de la morgue avant qu'une solution ne soit trouvée pour le second », a-t-il expliqué.

Abordant la question des cimetières publics que les Congolais et les Brazzavillois en particulier réclament, Abraham Ibela a annoncé que ce problème était en voie de résolution. Quant aux autres problèmes liés au matériel de travail, « nous allons soumettre toutes ces questions à la hiérarchie », a-t-il renchéri. Pour conclure, les travailleurs des pompes funèbres ont évoqué d’autres doléances que le secrétaire général a prises en compte et promis de résoudre au moyen du dialogue.

 

Jean Jacques Koubemba