TAZAMA : ce qu’ils ont dit17-01-2015 10:53 Venue dans le cadre du festival Tazama , l’équipe de Football love, (film projeté lors du festival Tazama des réalisatrices Dorcace Ahouangonou et Laeticia N’da) nous livre ses impressions. Dorcace Ahouangonou Depuis trois ans dans le cinéma, Dorcace Ahouangonou, actrice, réalisatrice et productrice ivoirienne . "Je pense que le festival Tazama est une belle initiative puisqu’il met en lumière les initiatives féminines dans le domaine du septième art. Cette plateforme m’ a permis de me remettre en question car ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion d’avoir autant de monde à ses cotés pour discuter de notre métier. C’est pour cela que je remercie Claudia de m’avoir invité. Mon coup de coeur en ce qui concerne les projections est le film du marocain Mohommed Ahed Bensouda « Derrières les portes fermées » qui évoque l’harcèlement dans le milieu du travail. Encore jeune dans le métier, ce film m’a appris plein de choses qui vont me servir dans mes réalisations futures, en tant qu’actrice, réalisatrice, et pourquoi pas productrice. Au fisnish , cette rencontre a été pour moi un moment de formation et d’apprentissage, elle m’a permis aussi de rencontrer du beau monde"
Laeticia N’da Après s’etre hissée au sommet du concours de beauté Miss Côte d’Ivoire 2009, Leticia marque désormais ses empreintes dans les arcanes du 7éme art. Elle joue dans la série ivoirienne Fashe ( Voit grand) que produit son amie et complice Dorcace Ahouangonou et aujourd’hui imprime sa marque dans Football love en tant qu’ actrice et co-réalisatrice C’est une belle initiative d’autant plus qu’ au dela du coté festif de ces retrouvailles, cette rencontre lutte pour une belle cause :celui du cancer. Une cause noble à laquelle j’adhère. Ce rendez vous nous a aussi permis de présenter notre film au public congolais qui nous l’espérons l'a apprécié. Personnellement, j’ai rencontré du beau monde , alors félicitations à Claudia et je croise les doigts afin que ce festival aille de l’avant car c’est désormais une vitrine à travers laquelle, les femmes africaines pourraient s’exprimer par le biais de leurs images. Techniquement le film qui m’a remué est celui de Mohommed Ahed Bensouda « Derrières les portes fermées » ;, tout y était, et ça fait rêver. Nous espérons que d’ici quelques années nous parviendrons à faire aussi des beaux films .
Berna Marty Légendes et crédits photo :Photo: Dorcace Ahouangonou; Crédit: Espin Bambi
Photo 2: Laeticia N’da Crédit: Espin Bambi |