Wakanda Forever

Les studios Marvel trouveront-ils un second roi T’Challa pour défendre la nation du Wakanda, la plus avancée de son univers ? La question est posée depuis le décès brutal de l’acteur Americain Chadwick Boseman, star du succès planétaire des studios Marvel Black Panther, à  l’âge de 43 ans, après une bataille contre le cancer menée pendant quatre ans en silence.

Si la mort de la star du film bouleverse les projets de Marvel, qui cherche désormais comment lui rendre hommage tout en perpétuant le projet Black Panther, les fans et autres cinéphiles ne sont pas prêts à prêter leurs yeux à un nouvel interprète de ce rôle ayant fait de Boseman le premier super-héros noir à qui un film de la franchise Marvel était entièrement consacré.

En attendant de voir qui enfilera prochainement le costume sombre du roi T’Challa dans la suite de la saga, c’est tout un univers culturel qui est bousculé à travers la disparition de l’acteur dont le rôle et le film ont su redonner à la communauté afro-américaine et à l’Afrique, bastion du scénario de la fiction, un sentiment de fierté, de courage et d’espoir. D’ailleurs, le célèbre geste du « Wakanda Forever »  qui se résume aux bras croisés devant le torse devient  un signe de ralliement à une cause sociale qui trouve finalement dans le film un regain d’inspiration.

Au moment où l’éternité du Wakanda avec son mystère imaginaire est vivement souhaité, reste à savoir comment le dessein sera-t-il traduit dans les faits pour que la nation africaine fictive dotée de la technologie la plus avancée au monde continue, sûrement, à inspirer un continent en quête d’audace.