Art-Culture-Média
L’association à but non lucratif de l’animateur albinos Mandragor également surnommé Ombre Blanche a prévu de réunir plusieurs jeunes de la ville au point de départ, devant la maternité de Kintambo, la matinée de ce mardi 13 juin, à partir de 7h30.
La marche de santé sera l’une des premières actions de visibilité qu’entend déjà mener l’Asbl dont la sortie officielle n’est pourtant prévue qu’en décembre. En effet, l’occasion faisant le larron, Albiblack a tenu à marquer déjà sa présence à la Journée internationale de sensibilisation à l’albinisme pour manifester l’importance qu’elle revêt pour la grande communauté albinos dont elle fait partie. C’est dire que pour son initiateur, l’animateur Mandragor, il est inconcevable de passer sous silence pareil moment. « Même si nous ne sommes pas encore sortis au grand jour, nous existons ... Lire la suite
L’exposition « Afriques Capitales » qui s’est tenue à la Villette, du 29 mars au 28 mai, a accueilli près de 40 000 visiteurs.
Cette exposition d’art contemporain consacrée à l’Afrique et mettant en avant de jeunes artistes en France a connu un très beau succès public, au-delà des estimations prévues par l’établissement culturel.
Avec l’exposition « Afriques Capitales », la Villette a renoué avec la politique des grandes expositions produites en interne et présentées dans la Grande Halle comme « Les magiciens de la terre », « Cité Cinés » ou « Le jardin planétaire »
Du 23 juin au 10 septembre 2017, la Villette accueillera, toujours dans la Grande Halle, l’exposition « Imagine Van Gogh » qui proposera sur 2000 m² une plongée immersive dans les chefs-d’oeuvre de l’artiste à travers des projections aux dimensions vertigineuses.
4e édition du Festival Afropolitan Nomade : Un plateau très relevé d’artistes attendu à Pointe-Noire
La sélection des artistes qui seront présents du 14 au 19 août 2017 au Centre culturel Jean-Baptiste Tati Loutard de Pointe-Noire à la 4e édition du Festival Afropolitan Nomade est désormais connue. Le comité d’organisation n’a pas lésiné sur les moyens pour choisir les meilleurs artistes qui cartonnent à l'étranger et ceux très en vue sur le plan local.
Près de 120 candidatures provenant de 35 pays de l’espace francophone ont été reçues par les comités international et local de sélection du festival. La qualité du travail présenté, l'originalité dans les œuvres présentées ont été les principaux critères qui ont amené les comités de sélection à choisir près de 40 artistes et groupes.
« L’art et le dialogue au service de la paix » est le thème de la 4e édition qui a lieu après les précédentes organisées respectivement au Cameroun, ... Lire la suite
La programmation du mois de juin à l’Institut français du Congo sera marquée par plusieurs activités musicales, acompagnées par un peu de théâtre. En voici les quelques temps forts.
Le directeur de l’IFC Richard Mouthuy reconnait dans son édito intitulé « Dans la rue la musique » que l'institution qu'il dirige fera ce mois-ci une part belle à la musique, à travers notamment deux grands moments. D’abord le 21 juin avec la fête de la musique, puis deux concerts avec deux ensembles exceptionnels réunis les 23 et 24 juin. Il s'agit de : Chœur Credo et l’orchestre symphoniste kimbanguiste de Kinshasa. Mais également « Mi Kuiza » la nouvelle création du chorégraphe Muleck et deux pièces de théâtre.
Le samedi 10 juin, les petits seront au rendez-vous avec Lecture et images expliquées histoire, à 10h00. Le mardi 13, le tour reviendra au ciné ... Lire la suite
Préfacé par Alain Kounzilat, cet ouvrage est un guide pratique pour réussir le rituel de la dot chez les Kongo. Il ouvre à la connaissance des règles, des symboles et des contraintes liées à l’organisation et au déroulement de cette cérémonie.
Réalisé par le groupe Ices à Essonnes (91100) France, Le mariage Kongo : rites et symboles, comprend six chapitres. Il s'agit de : chapitre 0, Correspondances d’usage ; chapitre 1, « Premier vin » ; chapitre 2, « Deuxième vin » ; chapitre 3, « Troisième vin » ; chapitre 4, Les nzonzi ; chapitre 5 : Procédure du mariage coutumier ; chapitre 6 : De la dot.
Le mariage coutumier est une procédure obligatoire en droit congolais de la famille. Le mariage coutumier congolais relève du droit traditionnel par une procédure stricte et rigoureuse. Avant de contracter le mariage civil ou religieux au Congo-Brazzaville, le ... Lire la suite
Edité à Publibook, l’ouvrage du docteur Giscard Kevin Dessinga compte 148 pages et préfacé par le professeur Dario Antiseri, depuis Rome en Italie.
La révolution du bon sens, L’Afrique à l’heure de la maturité, du courage et de la responsabilité, est un essai de cinq chapitres. Il s’agit de : Les retombées d’une rencontre (chapitre 1) ; Lorsqu’un héritage devient un fardeau (chapitre 2) ; Un constat qui fait école et donne à penser (chapitre 3) ; Sur la route de damas (chapitre 4) ; et L’Afrique à l’heure du courage et de la responsabilité (chapitre 5) ; le tout précédé d’une introduction : sortir de la minorité avant la conclusion intitulée: Agir ou périr.
L'ouvrage est un appel au bon sens, une voie, un chemin. Ce chemin n’est-il pas celui jadis tracé par le Sénégalais Cheik Anta Diop qui se demandait dès 1948 : « Quand ... Lire la suite
Organisée par l’Institut français du Congo (IFC), la deuxième édition du concours de comédie « Stand Up » démarre ce mercredi 07 juin au centre culturel Jean-Baptiste Tati Loutard, dans le premier arrondissement de Pointe-Noire et prendra fin le 17 juin dans la salle de spectacle de l’IFC.
Qui remportera le titre de meilleur comédien cette année dans la ville de Pointe-Noire? C’est la question que tout le monde se pose avant le lancement de la deuxième édition du concours de comédie « Stand Up » qui débute ce 07 juin au centre culturel Jean-Baptiste Tati Loutard.
Lancé par l’IFC, le Stand Up est un concours qui permet à de nombreux jeunes, amateurs dans le domaine de la comédie mais également aux professionnels d’exprimer leur talent à travers des spectacles en one man show.
Ce concours vise à favoriser l’émergence de nouveaux talents, ... Lire la suite
A Libreville, le festival Plateau jeune création, dont la cinquième édition s’est déroulée en avril dernier, est la seule plateforme professionnelle de détection, production et de diffusion des jeunes créations gabonaises spécialisée en danse. Organisé depuis six ans, son directeur artistique, Jean Rémi Ogoula Latif mène chaque année un parcours du combattant pour mobiliser les moyens et soutenir la scène locale.
Depuis 2012, Jean Rémi et son équipe de production persistent malgré l’absence de financement du festival combiné à un environnement peu propice au développement de ce secteur. Absence de salle de spectacle public, cherté des salles privées disponibles, absence d’accompagnement de l’Etat et des sponsors, manque de public. Cela ne réduit pas pour autant l’engagement des organisateurs, passionnés et attentifs à la professionnalisation des ... Lire la suite
Michel Ngongo a fait découvrir en primeur à la presse, le vendredi 2 juin en fin de matinée, les trois premiers titres de son album instrumental joués en boucle au Mont des Arts à l’occasion de sa sortie officielle.
Exclusivement instrumental, le premier album que le musicien, pianiste-arrangeur Michel Ngongo propose aux mélomanes s’intitule Réflexion. Au Courrier de Kinshasa, il a confié que « Réflexion s’adresse directement à ceux qui aiment écouter une musique sans paroles mais aussi ceux qui aiment travailler ou rester tranquilles avec une musique en sourdine ». Et de préciser en sus : « Il n’est pas à écouter comme musique d’ambiance ou d’agrément ». Privilégiés, les journalistes et chroniqueurs musicaux invités à la sortie officielle ont écouté Jamais sans toi, 4 et Qui donne le sourire, les trois premiers titres de l’œuvre qui en ... Lire la suite
Après son passage à Avignon, l’ IF de Dakar, l’Alliance Française de Ziguinchor, au Tamarc à Paris, « 4 heures du matin », texte d’Ernest Gaines mis en scène par Hassan Kassi Kouyaté a été présenté à l’Institut français du Congo le 27 mai dernier à Brazzaville. Une belle histoire, interprétée avec brio par l’acteur-conteur Abdon Fortuné Koumbha.
La pièce commence par une musique assourdissante et très vite Abdon Fortuné Koumbha fait son entrée, vêtu d’un ensemble veste de couleur noir, rehaussé par une cravate noire aux rayures blanches. Il déboule sur le devant de la scène d’un pas ferme et rapide, le regard fixé vers le public. On a l’impression qu’il est tourmenté. Et sitôt la musique s’arrête et laisse place au comédien conter son histoire.
A travers son récit, on découvre que le détenu se trouve dans une prison au sud des ... Lire la suite