Art-Culture-Média
Du 18 au 27 octobre, la belle région du Québec met le conte à l'honneur en accueillant la douzième édition du Festival interculturel du conte
Plus de 75 conteurs francophones venus du monde entier ont répondu présents à l'appel du Québec. Leur mission : faire rire, danser, rêver et surtout faire voyager petits et grands en invoquant personnages fantasques et univers enchantés. Cet événement puise sa richesse dans sa mixité culturelle. Des conteurs québécois, africains, belges, francais, néo-calédoniens et tsiganes porteront leur audience au fil de leurs histoires et de leurs notes de musique, parmi lesquels la Congolaise Amélence Darbois.
Lumière sur Amélence Darbois et Gisèle Ndong Biyogo
Amélence Darbois est née au Congo-Brazzaville et s'est installée il y a 15 ans en Nouvelle-Calédonie. Bercés par les sonorités du fleuve et de la forêt équatoriale, ses ... Lire la suite
Passionné de peinture depuis l’âge de 6 ans, le jeune artiste-peintre demande à l'État un soutien financier pour pouvoir représenter son pays dans des expositions internationales
L'artiste intègre l’école de peinture de Poto-Poto en 2006 pour approfondir son talent et apprendre la peinture sur toile. Girel Nganga Bangou Rinath réalise de nombreuses oeuvres, de style soit figuratif, soit abstrait. Certains de ces tableaux s'inspirent de ses rêves, dit-il. Mais souvent, c’est le quotidien qui inspire le jeune artiste sorti de l’école de Poto-Poto en 2009. La même année, il est reçu à l’atelier d’Hilarion Ndinga, l’un des doyens de la peinture congolaise qui célébrera, en 2014, ses 60 ans de carrière professionnelle. Girel Nganga évolue encore aujourd’hui aux côtés de ce grand homme. « Il m’encourage à aller de l’avant. Je le considère ... Lire la suite
Les deux artistes se sont associés à des célébrités actuelles de la planète hip-hop en France. Ce qui leur permet d’avoir une visibilité auprès du public amateur de ce style musical.
Fally Ipupa est en duo avec Youssoupha sur le titre « Kitoko ». Le clip du single a été mis sur le marché depuis le 25 septembre dernier. La musique est composée par le célèbre « beatmaker » français Skalpovich qui collabore avec toutes les stars de Rap en France. Le single est extrait du prochain album de Fally Ipupa prévu pour 2014. Ce quatrième album de « Dicap la merveille » serait beaucoup plus de tendance world music. C’est ainsi qu’il compte plusieurs featuring avec des stars de renommée internationale, notamment l’américain R Kelly. La collaboration avec un artiste de hip-hop ne constitue pas une nouveauté pour Fally Ipupa. Ce dernier a déjà collaboré ... Lire la suite
Le Mauritien Amal Sewtohul est le lauréat 2013 dudouzième Prix de la Francophonie pour son roman Made in Mauritius. La distinction lui sera remise le 24 octobre à Port-au-Prince en Haïti
Le jury, réuni le 25 septembre au siège de l’Organisation internationale de la Francophonie à Paris, a motivé son choix en évoquant une œuvre « qui traite d’un chapitre de l’histoire de Maurice (immigration, indépendance), en utilisant le conteneur comme symbole contemporain subversif et humoristique de l’identité dans un flux perpétuel ; un roman qui parle aussi, avec fraîcheur et talent, de la solidarité entre jeunes venus de milieux différents. »
Né en 1971 à Quatre-Bornes (île Maurice), Amal Sewtohul est diplomate et romancier. Auteur de trois romans, Amal Sewtohul remodèle la forme du roman mauricien, mélangeant les histoires et l'Histoire et déclinant les genres.
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Acclamé aux États-Unis, Le Majordome retrace l’histoire vraie de Cecil Gaines, de son enfance dans les champs de coton en Louisiane dans les années 1920 à l’élection de Barack Obama en 2008. Un film « coup de poing » qui raconte l’histoire d’un homme, de son fils, mais surtout l’histoire du mouvement pour les droits civiques des Afro-Américains aux États-Unis
Entre biopic et film historique, Le Majordome s’inspire de l'histoire vraie d’Eugene Allen qui a travaillé à la Maison-Blanche pour sept présidents, pendant 34 ans. Fils d’esclave, Cecil Gaines quitte rapidement sa condition, se fait embaucher en tant que majordome dans un hôtel luxueux, puis à la Maison-Blanche où il travaillera au service de sept présidents américains successifs. Consciencieux, l’homme accomplit son travail avec humilité et brio au service du gouvernement, dans une société ... Lire la suite
L'artiste-musicien congolais évoluant en France a décidé de renouer avec la scène après plusieurs décennies consacrées à une carrière de producteur et arrangeur de musique. Arrivé au summum de sa carrière, il fera un clin d’œil à son pays en donnant deux concerts, l’un à Brazzaville et l’autre fort probablement à Pointe-Noire
C’est grâce à son fan club présidé par Isidore Babela, féru de belles œuvres, que Sammy Massamba va donner un concert le 25 octobre à l’Institut français du Congo (ex-Centre culturel français du Congo) en partenariat avec cet institut. Le second concert, l’artiste entend le donner deux jours après, c’est-à-dire le 27 octobre, à l’espace Trentenaire de Total à Pointe-Noire, capitale économique du Congo.
Afin de s’acclimater au terrain et aux artistes qui vont l’accompagner, ce grand nom de la musique congolaise ... Lire la suite
L’artiste musicien, qui vient de lancer sa carrière solo, propose un album de dix chansons, Coffre-fort, disponible dès lundi
Les œuvres de Trésor Mvoula passent actuellement sur les ondes, avec des tubes comme Tchoko-Tchoko et Vieux Thomas, pour le grand plaisir de ses fans du Congo et d’ailleurs.
De son vrai nom Neil Trésor Bouya Itambala, il a commencé sa carrière musicale en 2002 au sein du groupe Patrouille des stars où il a contribué à la réalisation de deux albums. Après cette expérience de près de cinq ans, il prend son propre chemin en 2007 et crée le groupe Gouvernement des as avec lequel il sort un premier album de dix titres, L’homme est encore vivant.
À ce musicien qui cherche à se forger un nom parmi les grands, un seul vœu est cher : « Je souhaite vivement contribuer à l’élévation de la musique congolaise au plus haut sommet. Au niveau ... Lire la suite
Dans le numéro précédent de notre édition du samedi, l’artiste musicien qui nous a quittés, le 25 septembre à 73 ans, était à l’honneur dans sa célèbre composition, Congo . Aujourd’hui, les œuvres de Jacques Loubélo étant nombreuses, nous nous étendrons sur son parcours
Jacques Loubélo a conscientisé les Congolais par ses textes, des appels à l’unité qui seront à jamais gravés dans la mémoire de tous. La semaine dernière, nous disions de lui-à juste titre, que c’était un précurseur de la paix. Ce chantre de l’unité nationale n’est plus de ce monde. Le vrai hommage que l’on pourrait lui faire serait de tirer les leçons d’amour et de fraternité qu’il a sans cesse dans sa carrière fredonnées pendant un demi-siècle.
Comme l’a écrit notre confrère Bruno Okokana dans Les Dépêches de Brazzaville du vendredi 27 septembre 201, ... Lire la suite
Dans le jardin municipal qui jouxte l’hôtel de la préfecture, le général Benoît Moundélé-Ngolo, qui avait célébré le matin même ses soixante-dix ans en la cathédrale du Sacré-Cœur de Brazzaville, a présenté en soirée son septième ouvrage, Fantasmons ensemble un instant dans un Snoprac, publié aux Éditions Hemar, comme pour commémorer ses trente ans d’écriture. Que peut-on retenir de sa production littéraire et que se cache-t-il derrière ce titre ?
Les professeurs André-Patient Bokiba, de l’université Marien-Ngouabi, et André T. Lukusa-Menda, de l’université pédagogique nationale de Kinshasa, membre de l’association des critiques littéraires de Kinshasa, ont dans leurs critiques, édifié l’auditoire. S’agissant du titre de cet ouvrage, le professeur André-Patient Bokiba retient le mot « fantasmons » qu’il trouve important. Le ... Lire la suite
Ce géant de la musique congolaise est mort mercredi 25 septembre en début de soirée au centre hospitalier universitaire de Brazzaville, où il avait été admis depuis quelques jours
La mort de Jacques Loubelo, qui était à la fois guitariste, auteur compositeur et interprète, représente une perte immense pour la musique congolaise, qui voit ses grands noms disparaître peu à peu.
À 73 ans, Jacques Loubelo avait encore beaucoup à donner aux mélomanes. Sa mort intervient alors que le public l’attendait le 24 septembre à l’Institut français du Congo et le 29 au bar La Détente à Bacongo (deuxième arrondissement de Brazzaville).
Artiste visionnaire, Jacques Loubelo avait composé en 1984 la chanson Congo, à une époque où la question du tribalisme et du régionalisme ne préoccupait pas les Congolais. Une œuvre produite par IAD (Industrie africaine de disque) avec ... Lire la suite