Art-Culture-Média
Nous avons aussi rencontré les Camerounais Francoise Ellong et Basile Ngangue Ebelle
Françoise Ellong se révèle à nous lors du festival Tazama avec son film Waka, fiction de 97 minutes où il est question de prostitution. Prix spécial du jury (Khouribga 2013,Maroc) et Dikalo Awards d’encouragement au Festival Panafricain de Cannes 2013.
"Je découvre de bons films, de belles personnes intéressantes qui ont des idées, des projets porteurs d’espoir, de l’énergie et donc je ne peux qu'être enthousiaste pour l’avenir de ce festival. Je voudrais remercier aussi l’équipe de Tazama qui a vraiment été à l’écoute car on a manqué de rien. Bref je me suis senti chez moi et l’équipe s’est effforcée à nous faire découvrir la ville en dehors du cadre du festival .Enfin je voudrais une fois de plus remercier Claudia Haïdara Yoka pour son énergie ... Lire la suite
Venue dans le cadre du festival Tazama , l’équipe de Football love, (film projeté lors du festival Tazama des réalisatrices Dorcace Ahouangonou et Laeticia N’da) nous livre ses impressions.
Dorcace Ahouangonou
Depuis trois ans dans le cinéma, Dorcace Ahouangonou, actrice, réalisatrice et productrice ivoirienne .
"Je pense que le festival Tazama est une belle initiative puisqu’il met en lumière les initiatives féminines dans le domaine du septième art. Cette plateforme m’ a permis de me remettre en question car ce n’est pas tous les jours qu’on a l’occasion d’avoir autant de monde à ses cotés pour discuter de notre métier. C’est pour cela que je remercie Claudia de m’avoir invité. Mon coup de coeur en ce qui concerne les projections est le film du marocain Mohommed Ahed Bensouda « Derrières les portes fermées » qui évoque l’harcèlement dans le ... Lire la suite
Après la controverse autour du pays hôte de la compétition, les 16 pays qualifiés, et le tirage au sort des poules, il ne manquait plus que la chanson officielle de cette CAN 2015
La tradition a été respectée avec la sortie de l’hymne « hola hola » écrite et arrangée par le groupe togolais Toofan en collaboration avec d’autres artistes africains. À côté des matchs, c’est sous la cadence de « hola hola » que Singuila du Congo-Brazzaville, Fally Ipupa de la RDC, Molar de la Côte d’Ivoire, Wizboy du Nigéria, Eddy Kenzo de l’Ouganda, la Camerounaise Mani Bella, Arielle T du Gabon, le groupe Toofan du Togo et Cano de la Guinée Équatoriale ont montré l’unité du continent, au-delà du côté festif de l’événement.
Cette pléiade d’artistes africains s’est mobilisée pour donner un cachet spécial à la Coupe d’Afrique des Nations (CAN ... Lire la suite
Musique, danse, cinéma, théâtre, slam, mode, expositions de peintures et livres ainsi que d'autres activités sont prévues au programme de cette première édition du Fiadol (Festival international des Arts de Dolisie), grand rendez-vous culturel qu’organise Artérial Network Congo-Brazzaville ce, du 15 au 18 janvier dans le département du Niari.
L’événement réuni des artistes et acteurs culturels de Dolisie, Pointe-Noire, Brazzaville et Owando. Outre les spectacles, au menu du rendez-vous figurent aussi des formations et conférences animées par des professionnels. Ces activités culturelle sont reparties dans les différents sites de la ville de Dolisie. Il s'agit notamment de la mairie centrale, le siège du Conseil départemental, la salle de spectacles de la paroisse Fatima, la salle et la cour de la Préfecture, des écoles, ainsi que le village du ... Lire la suite
La 44e édition du Festival international du film de Rotterdam aura lieu du 21 Janvier au 1 Février 2015. Un des plus grands événements cinématographiques publique dans le monde auquel prendra part une délégation congolaise avec le film du jeune réalisateur congolais Ori Huchi Kozia Kayser.
Dans Épicuria Adulterous eyes of Doves qui sera diffusé les 22 et 23 janvier à Rotterdam, Ori Huchi Kozia Kayser expérimente une nouvelle écriture cinématographique à laquelle on n’est pas habitué au Congo. À la place d'un récit linéaire et explicite, il met en avant la déconstruction et la suggestion.
Ce film a été tourné il y a deux ans dans le cadre du collectif Tozali créé pour réunir les compétences des acteurs du paysage audiovisuel et cinématographique dans l'espoir de l'émergence du cinéma congolais. C’est en 2011 que le réalisateur congolais fait son ... Lire la suite
La chanson phare de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN 2015), titré « Hola Hola », a été écrite et arrangée par le groupe togolais « Toofan » en collaboration avec d’autres artistes africains.
Plusieurs grands noms de la musique africaine ont interprété l’hymne de cette compétition qui aura lieu du 17 janvier au 8 février. Il s’agit notamment de Singuila, Toofan et Wizboy du Nigéria, Fally Ipupa du Congo, Molar de la Côte d'Ivoire, Eddy Kenzo d'Ouganda, Mani Bella du Cameroun et Arielle du Gabon. Ces artistes ont également participé au montage du clip vidéo déjà en diffusion sur plusieurs chaînes de télévision.
« Quand on parle de football, on parle de joie. C'est le moment intense où l'Afrique se sent vraiment unie. Chacun se retrouvera dedans », a indiqué Master Just, membre du groupe Toofan . En composant l'hymne de la CAN 2015, les Toofan... Lire la suite
La représentation de ce roman aura lieu le 30 janvier à l’Institut français du congo, elle sera faite par le comédien et metteur en scène Gilfery Ngamboulou et sa compagnie le Théâtre des sans voix.
L'ouvrage "Photo de groupe au bord du fleuve" a été écrit par le Congolais Emmanuel Dongola. Il décrit la condition des femmes africaines qui survivent dans une société injuste et violente. Ces femmes se rendent chaque matin à la carrière située au bord d’un fleuve africain pour casser des blocs de pierre. Un jour, ces casseuses de cailloux viennent d’apprendre que la construction d’un aéroport a fait considérablement augmenter le prix du gravier.
Elles décident alors d'augmenter le prix du sac qui coûterait désormais plus cher mais, comment vont-elles convaincre les clients ? Elles choisissent Méréana ... Lire la suite
Les lampions de la 2e édition du Festival du Film des femmes africaines Tazama se sont éteints le 12 Janvier à Brazzaville. A l’issue de cette édition quatre femmes cinéastes sont récompensées pour leur talent. Le film Dilemme de la réalisatrice congolaise Liesbeth Mabiala a reçu le prix du meilleur court métrage.
Pendant une semaine le public a pu suivre et réagir à toutes les projections. Une semaine exceptionnelle au cours de laquelle des films ont faits sourire, sursauter, pleurer. « Une semaine où chacun des invités que nous avons reçus a eu des raisons supplémentaires de penser que ce festival a toute sa place dans le paysage culturel de notre pays. Une semaine où il a été question de partage, d’épanouissement, de collaboration et d’espoir », a souligné la directrice du Festival Claudia Haidara Yoka.
Cette édition porte en elle les germes ... Lire la suite
L’Institut français de Kinshasa (IFC) diffusera le célèbre film « 12 years a slave » du réalisateur Steve Mcqueen.
Le 14 Janvier est consacré au cinéma avec la diffusion, l’après-midi, de « 12 years slave ». Le film de 2h 13 min relate une histoire qui se déroule aux États-Unis, quelques années avant la guerre de Sécession. Solomon Northup, jeune homme noir originaire de l’État de New York, est enlevé et vendu comme esclave. Face à la cruauté d’un propriétaire de plantation de coton, Solomon se bat pour rester en vie et garder sa dignité. Douze ans plus tard, il va croiser un abolitionniste canadien et cette rencontre va changer sa vie. Dans la soirée, c’est le film « Tirez la langue, mademoiselle » réalisé par Axelle Ropert qui sera au programme. D’une durée de 1h42 min, l’opus raconte l’histoire de Boris et Dimitri Pizarnik, ... Lire la suite
Des ateliers et des animations diverses ont été organisés le 12 janvier au lycée Victor Augagneur de Pointe-Noire où a été célébré la 3e Journée nationale du conte, une initiative de la compagnie de conte Africa Graffitis.
La commémoration de cette journée vise à perpétuer la tradition orale et les leçons de vie contenues dans le conte. Il s'agit aussi d’actualiser les valeurs ancestrales du pays et de faire renaître le conte naguère prisé par les Africains. Cette 3è édition a mobilisé les jeunes et les vieux. Une manière pour les organisateurs de mettre en exergue le Mbongui, lieu jadis sacré où les traditions orales contenues dans les contes, les épopées et légendes d’autrefois étaient mis à la disposition de la jeunesse, surtout le soir autour du feux.
Selon Mapakou, représentant le directeur départemental de l’Enseignement primaire, ... Lire la suite