Jean-Claude Gakosso apporte assistance et réconfort aux artistes malades

Jean-Claude Gakosso a décidé de s’attacher particulièrement en 2014 à promouvoir les artistes et leurs œuvres, y compris ceux qui ont cessé leur activité en raison de la maladie. Ainsi, il s’est rendu tout récemment au Salon du livre, qui s’est tenu du 20 au 25 mars 2014 à Paris (France). De retour à Brazzaville, le ministre a entamé, en voiture ou à pied dans des zones enclavées, ses visites aux musiciens et peintres en détresse ou malades qui ont tant fait pour la culture et les arts congolais.

Jean-Claude Gakosso a commencé sa tournée de réconfort dans le quartier Mbemba Landou à Madibou, dans le huitième arrondissement de Brazzaville, où vit Ignace Nkounkou. Plus connu sous le pseudonyme de Master Mwana Congo, cet artiste, qui a enchanté par le passé les mélomanes congolais, est aujourd’hui très malade. Master Mwana Congo s’est dit très ému par la visite d’un membre du gouvernement à son domicile. C’est celle d’un « ange guérisseur », a-t-il déclaré.

La délégation ministérielle s’est ensuite rendue à Mpissa (Bacongo), dans le deuxième arrondissement, où le ministre a rendu visite à Hermann Ngassaki, ancien sociétaire d’Extra Musica Zangul, récemment hospitalisé et actuellement en convalescence chez lui, où il se remet d’un accident vasculaire cérébral. Non loin de là, dans la commune de Bacongo, habite le musicien Célestin Nkouka, dit Ya Celio, où la visite du ministre n’est pas passée inaperçue. Alertée, la population environnante s’était massée en nombre devant le domicile de l’artiste.

Jean-Claude Gakosso a également rendu visite à l’un des doyens de la peinture congolaise, Guy Léon Fylla, à Moungali, dans le quatrième arrondissement de Brazzaville, très affaibli par l’âge et la maladie.

Enfin, il a traversé la ville pour se rendre à Talangaï, dans le sixième arrondissement, où il est allé témoigner sa considération au musicien Chairman Jacques Koyo. Lui aussi très souffrant, il a été très ému de la visite du ministre de la Culture et des Arts à son domicile.

À tous ces artistes, Jean-Claude Gakosso a non seulement apporté un réconfort moral, mais aussi financier, afin de leur permettre de faire face à certains besoins médicaux. « Je ne fais que mon devoir » ou encore « La République ne vous a pas oublié », a-t-on pu l'entendre dire.