Opinion
- Éditorial - Les Dépêches de Brazzaville
- Réflexion - Jean-Paul Pigasse
- Le fait du jour - Gankama N'Siah
- Humeur - Faustin Akono
- Chronique - Boris Kharl Ebaka
- Brin d’histoire - Mfumu
- Tribune libre - Sergueï Lavrov
- Idées-forces - Les Dépêches de Brazzaville
- Analyse - Xinhua
Se projeterJeudi 26 Décembre 2024 - 17:30 L'année touche à sa fin, et c'est le moment idéal pour faire le bilan de ce qui s'est passé au cours des douze derniers mois. Une manière d’identifier les réussites, d'analyser les défis et de planifier ce qui n’a pas ou peu marché afin de se projeter dans l’avenir en se fixant de nouveaux objectifs en termes de perspectives. Tout comme dans les entités privées, publiques ou paraétatiques, l’année 2024 a été marquée par des remous sociaux, notamment des grèves et des sit-in ayant fragilisé le monde du travail. La raison en est la situation financière et économique difficile du moment et dont les causes sont à la fois endogènes et exogènes. Un bilan annuel bien préparé étant la clé pour des lendemains meilleurs, il sied donc aux gestionnaires des administrations de regarder dans le rétroviseur pour corriger les failles. Pour les entreprises privées et paraétatiques souvent pénalisées par une situation financière structurellement déficitaire, des charges opérationnelles élevées qui grèvent les budgets et un effectif en personnel pléthorique, il est temps d’étudier une nouvelle stratégie de gestion pour mieux envisager l’avenir. Quant au gouvernement qui tente de contenir la conjoncture pour ouvrir des perspectives macroéconomiques meilleures, tant au niveau national que sous-régional, seule la poursuite des réformes entreprises permettra de maintenir le cap. C’est ici le lieu d’insister sur de nouvelles contraintes parmi lesquelles figure le relèvement du niveau des recettes budgétaires, fiscales et non fiscales en 2025. Les Dépêches de Brazzaville Edition:Édition Quotidienne (DB) Notification:Non |