À la recherche d’un sélectionneur national pour succéder à Kamel Djabour à la tête des Diables rouges, la Fécofoot a reçu trente et une candidatures dont elle a communiqué les noms dans la presse cette semaine. Une liste hétéroclite, composée de noms plus ou moins connus et compétents, qui donne parfois envie d’adresser ce message aux agents : la sélection congolaise n’est ni une équipe de quartier, ni une antenne locale de Pôle emploi. Revue d’effectif des candidatures, dont chacun se fera, ou non, son opinion
Patrick Aussems
Belge, 48 ans. Robuste défenseur international, passé par le Standard de Liège, La Gantoise, Troyes. Il termine sa carrière à La Réunion, où il passe ses diplômes et devient entraîneur de Saint-Louis, qui goûte alors à la Ligue des champions CAF. Il repart alors en France, à Beaucaire (National), puis au Cameroun (Kadji Sport Academy, 2004-2005). Devient entraîneur adjoint au SCO d’Angers et plus tard d’Évian-Thonon. Il retrouvera le continent africain entre 2006 et 2009 à la direction technique nationale béninoise, avant de mettre le cap vers la Chine : au Ruby Shenzhen (2011-2013) et au Chengdu Tiancheng, qu’il dirige actuellement.
Sébastien Bannier
Français, 38 ans. Joueur, il connaîtra son apogée lors de la finale de la Coupe Gambaredella 1994, avec Caen. S’il ne perce pas en pro, il se tourne très tôt vers le banc et s’occupe des équipes de jeunes du SM Caen, dont l’équipe réserve. Et devient, en 2005, le plus jeune directeur de Centre de formation de France. Un profil davantage fait pour le CNFF.
Dominique Barthenay
Français, 59 ans. Milieu de terrain de la grande équipe des Verts de Saint-Étienne (3 titres de champions de France, autant de Coupes de France, finaliste de la Coupe des clubs champions 1976), il rejoint ensuite François Mpelé au PSG, où il remporte deux Coupes de France. Capé à 20 reprises chez les Bleus, il est doté d’un beau parcours comme joueur. Sur les bancs de touche, son bilan est moins éloquent, tant en France (Sète, Reims, Saint-Étienne, Nîmes, Sedan) où il ne reste jamais plus d’une saison, qu’en Afrique (Monastir 1989-1990 et Seychelles 2002-2003). À la tête de la sélection des Émirats arabes unis (2005-2009), il échoue dans les qualifications au Mondial 2010 et est limogé. Libre depuis.
Alberto Bigon (photo 1)
Italien, 65 ans, un parcours de joueur plutôt flatteur avec des passages par le Napoli, l’AC Milan (56 buts en 218 matchs), la Lazio et Vicenza, entre autres. Devenu coach, il s’est assis sur le banc de plusieurs écuries italiennes (dont le Napoli et l’Udinese) ainsi que Sion (doublé Coupe-Championnat en 1997) et l’Olympiakos (99-2000). L’ancien attaquant est sans club depuis la saison 2007-2008 lorsqu’il avait remporté la Coupe de Slovénie avec le Factor Ljubljana.
Manuel Reinaldo Bilches
Argentin, 56 ans. Une carrière de joueur inconnue et un parcours d’entraîneur tout aussi timoré (sélectionneur du Belize et du Curaçao, entraîneur du club indonésien du PSM Makassar). Son agent semble ignorer que le Congo a quand même été champion d’Afrique.
Mustapha Biskri, Algérien. A dirigé plusieurs clubs algériens, dont MCA, le CA Bordj Bou Arréridj, le CA Batna, le NA Hussein-Dey, le RC Kouba ou encore l’USM Annaba. Depuis 2012, il est le président du club des entraineurs algériens.
Abdellah Boudouma
Marocain, 41 ans, ancien attaquant formé à Meknès, puis passé par la Suisse et les divisions inférieures italiennes. Durant la saison 2009-2010, il entraine Cappella Maggiore, pensionnaire de Promozione, le septième échelon italien. Ça fait rêver, non ?
Emmanuel Clément
Français, 41 ans, ancien meneur de jeu formé à Metz puis passé par Amiens, Niort, Reims, Calais et Boulogne-sur-Mer, où il prend sa retraite en 2004. Actuellement sans emploi, il a ensuite entrainé l’US Gravelines (CFA 2 entre 2006 et 2010) où il a côtoyé Galdino Bilampassi, puis a officié comme adjoint au Stade de Reims, alors en Ligue 2, lors de la saison 2010-2011.
Christophe Desbouillons
Français, 55 ans. Ancien défenseur, passé par Lyon et l’équipe de France Espoirs (il a disputé le Mondial U20 en 1977), il compte plus de 100 matchs de première division. Entraîneur-joueur à La Rochelle, en troisième division, il passe ensuite par le Centre de formation d’Angers puis entraine Viry-Châtillon. Après quatre années passées comme entraîneur adjoint à Caen, son club formateur, il exerce en CFA pendant cinq ans puis est nommé directeur technique national de l’île Maurice. Libre.
Henri Depireux
Belge, 69 ans, ancien milieu de terrain, international à deux reprises, il a fait sa carrière de joueur en Belgique. Devenu entraîneur-joueur, puis entraîneur en chef, il est un globe-trotter des bancs de touche (Belgique, France, Portugal, Suisse, Émirats arabes unis). En Afrique, il a dirigé le Cameroun (1996-1997) et la RDC (2006-2007), sans grands résultats, et plusieurs clubs du Maghreb. En 2001, il devient brièvement entraîneur de l’équipe féminine du Standard de Liège, avant de reprendre du service au FC Tilleur (cinquième division belge) lors de la saison 2012-2103.
Benoît Duval
N’ayant pas eu accès aux CV reçus par la Fécofoot, on suppose, après quelques recherches dans la presse française, qu’il s’agit d’un Français, attaquant amateur, qui officiait comme entraîneur-joueur de l’En Avant Scaër, pensionnaire de première division du district du Finistère Sud (onzième division), l’an passé. Si c’est lui, et sans lui faire offense, on parle ici d’une sélection nationale, pas d’une équipe de quartier.
Jean-Louis Garcia
Français, 51 ans. Ancien gardien de but, il porte, sans beaucoup jouer, les couleurs de grands clubs comme Cannes, Monaco, Nancy et Nantes, où il termine sa carrière. Il intègre ensuite le staff des Canaris, puis part à Bordeaux pour entraîner la réserve. Après trois ans à Toulon, comme entraîneur principal, il connaît son apogée avec Angers, qu’il fait remonter en Ligue 2 en 2006 et où il lance Fodé Doré. En 2001, il rejoint Lens, mais est limogé en septembre 2012. Libre.
Luis Fernandez (photo 2)
Français, 53 ans. Le meilleur palmarès d’entraîneur de cette liste : joueur emblématique du PSG et de l’équipe de France de Platini, il reste à ce jour le seul entraîneur français à avoir conduit un club hexagonal au titre européen (Coupe des Coupes 1996 avec le PSG, son club de cœur). Après, sa carrière est moins linéaire, avec du bon (qualification historique de Bilbao en Ligue des champions, maintien miraculeux de l’Espanyol Barcelone en 2004, troisième place avec le Beitar Jérusalem) et du moins bon (retour manqué avec le PSG de Ronaldinho, expériences mitigées au Betis, au Qatar, à Reims et en sélection israélienne). Animateur vedette de l’émission Luis attaque depuis 2003, il semble désormais être davantage un homme de médias que de terrain.
Patrick Hesse
Français, 56 ans, ancien défenseur au sein des clubs amateurs de Merlebach, Thionville et Forbach entre 1979 et 1991, il s’assied sur le banc de Forbach entre 1992 et 1999 avant de rallier le centre de formation de Nancy. Entraîneur adjoint au FC Metz entre 2009 et 2012, il porte la casquette d’entraîneur principal au F91 Dudelange (Luxembourg) lors de la saison 2012-2013 : n’ayant pas remporté le titre national, que son club détenait depuis 10 ans, il quitte le club en mai dernier. Sans club depuis.
Denis Lavagne
Français, 64 ans. Fils de Léonce Lavagne, ancien joueur puis entraîneur, dont il sera l’adjoint à Alès, Nîmes, Bastia, Béziers et Valence entre 1983 et 1998. Affranchi, il devient directeur du centre de formation de Sedan (1999-2003) puis au Qatar. Après un passage en Chine, il est nommé entraîneur du Coton Sport de Garoua (il y a dirigé Mfoutou Madila et recruté Boukama Kaya) où il remporte, en deux temps (2006-2008, puis 2009-2011), quatre championnats, trois coupes et dispute la finale de la Ligue des champions 2008. Il prend en 2011 la tête des Lions indomptables, dans un climat détestable, et échoue dans les qualifications pour la CAN 2013. Actuellement à l’Étoile du Sahel de Percy Akoli, où il a remporté la Coupe de Tunisie, en septembre. Annoncé sur le départ.
Alain Mboma
Camerounais, 44 ans. Après une carrière de milieu défensif en amateur, le natif de Douala, frère du célèbre Lion indomptable Patrick Mboma, devient entraîneur et réalise l’essentiel de sa carrière à Villemomble, qu’il mène au titre de champion de CFA en 2007. Dirige ensuite le Red Star (CFA) entre 2009 et 2010 (il y entraînera Chirel Ngakosso quelques mois), il est ensuite nommé au Paris FC (National), mais n’est pas conservé à l’issue de la saison (2011-2012). Sans club depuis son départ du club parisien.
Sébastien Migné
Français, 40 ans, a fait sa carrière de milieu de terrain à La Roche-sur-Yon (deuxième division à l’époque) puis en divisions inférieures. Après avoir raccroché les crampons en 2002, il intègre le staff technique du RC Lens où il a été l’adjoint de nombreux entraîneurs artésiens, dont Wallemme, Jean-Louis Garcia, Kombouaré ou encore Guy Roux. Il rejoint ensuite Claude Le Roy, dont il était l’adjoint à Oman, en RDC, où il est nommé deuxième adjoint en seniors et coach des juniors, qu’il dirige lors de la CAN junior 2013 (sixième sur huit) et au Festival de Toulon 2013 (dernier du groupe A avec zéro point). Selon nos confrères kinois, il n’a pas laissé un souvenir impérissable sur l’autre rive du fleuve Congo.
Bernard Lama (photo 3)
Français, 50 ans. Champion du monde 98 et d’Europe 2000, le Chat a également remporté la Coupe des Coupes 1996 avec le PSG, où il fut champion de France 1994. Un temps considéré comme le meilleur gardien du monde, le Guyanais terminera sa carrière à Rennes après 501 matchs de première division (2 buts), 44 sélections et 48 matchs de Coupes d’Europe. Éphémère sélectionneur du Kenya (juillet-septembre 2006), il est l’un des fondateurs de l’association Diambars (avec Viera et Adjovi-Boco), au Sénégal. Libre.
Pierre Lechantre
Français, 63 ans. Après une très honnête carrière de milieu offensif (320 matchs de première division, 60 buts, des passages à Lille, Sochaux, Monaco, Marseille, Laval, Lens, Reims, le Red Star ou encore le Paris FC), le Lillois devient entraîneur au Paris FC, puis au Perreux. Mais c’est en Afrique qu’il se fait un nom en remportant la CAN 2000 avec le Cameroun, dont il est DTN lors de la victoire aux JO de Sydney. Par la suite, il ne connaîtra pas les mêmes résultats, malgré une finale de la Coupe du Golfe 2002 avec le Qatar ou de la Coupe de la CAF avec le CS Sfax en 2010. Des manqués au Mali et au Sénégal (qu’il quitte au bout de quelques jours) ternissent l’image de sorcier blanc qu’il avait glanée avec les Lions indomptables. Vainement annoncé au Cameroun en début d’année, il est actuellement sans club.
Aazedine Morjane
Marocain, aurait été entraîneur au sein de l’ATC Salé, un club… d’athlétisme. Dommage pour lui, il s’agit ici d’un poste d’entraîneur de football.
Christian Durnel Mouendengo (photo 4)
Congolais. Ancien milieu offensif ou attaquant de l’AS Patronage et de l’Étoile du Congo, il était surnommé « France Football », car il arrivait régulièrement aux entraînements avec le dernier numéro du journal du même nom. Au Congo, il a entraîné l’Union Sport Mbingi et Patronage. Parti en Europe, il a, paraît-il, entraîné au niveau amateur, sans y laisser de trace. Revenu au Congo, il a débuté la saison sur le banc de Patronage, avant d’être limogé au début de la phase retour. Apparemment, il pratique le scrabble au plus haut niveau, ce qui pourrait garantir des conférences de presse de haute volée.
Lamine Ndiaye
Sénégalais, 50 ans. Attaquant passé par Cannes (D2) et Mulhouse (D2 et D3), sous les ordres de Guillou et Wenger, il embrasse la carrière d’entraîneur au sein de la formation alsacienne en 1998 pour quelques mois. En 2003, l’ancien international sénégalais arrive au Coton Sport de Garoua où il connaît le succès (4 titres et 2 coupes et une finale perdue de Coupe de la Confédération 2002). En 2006, il devient adjoint des Lions de la Terenga, puis est intronisé sélectionneur en chef en 2008. Mais l’échec du Sénégal lors des éliminatoires du Mondial 2010 lui coûte sa place dans un contexte tumultueux. Il rebondit rapidement au Maroc, puis au TP Mazembe où il succède à Diego Garzitto. Avec les Corbeaux, il atteint la finale de la Coupe du monde des clubs 2010, mais ne parvient pas à ramener le club lushois au sommet continental (huitième de finale en 2011 et 2013, demi-finale en 2012) : il est ainsi remplacé par Patrice Carteron, mais reste au club comme directeur technique, fonction qu’il occupe aujourd’hui.
Isaac Ngata (photo 5)
Congolais, 48 ans. Ancien milieu de terrain qui a effectué sa carrière en Île-de-France (Savigny-sur-Orge entre 1992 et 1995 en DH et AS Corbeil-Essonnes 1983-1992 et 1995-1997 en D3 puis CFA 2), il devient entraîneur-joueur à Fleury-Mérogis en 1997 (montée en PH), puis à la Bourse (championnat des entreprises), Corbeil-Essonnes (DH). Après une pige comme adjoint à Viry-Châtillon (CFA) en 2005 et une saison à Brétigny (DSR), il se lance dans le « grand » bain avec Sainte-Geneviève-des-Bois (CFA, 2006-2009), qu’il mène à la quatrième place du championnat. Puis enchaîne à Viry-Châtillon et Camille Oponga, avec lesquels il obtient des résultats corrects en CFA (sixième, neuvième et onzième entre 2009 et 2012) malgré quelques anicroches (perte de points et suspensions en 2010 pour une bagarre générale, perte de points en 2012 après l’affaire Bahamboula). En cours de saison 2012-2013, il devient directeur sportif du club, mais, en manque de terrain, il quitte son poste en fin de saison pour reprendre du service à Évry, actuel cinquième de son groupe de CFA 2. Sous contrat.
Patrice Neveu (photo 6)
Français, 59 ans. Milieu de terrain en deuxième et troisième divisions françaises. Raccroche les crampons en 1989 et s’assied sur le banc en amateur, puis en jeunes, avant de mettre le cap sur le Niger, dont il sera furtivement DTN. S’ensuivent des passages au Maroc et en Chine et une expérience concluante en Guinée, qui disputera les quarts de finale de la CAN 2006. Il ne connaît pas la même réussite en RDC (2008-2010), mais devient un héros national avec la Mauritanie, qu’il qualifie pour le Chan 2014 en éliminant le Sénégal au dernier tour. Toujours sous contrat avec les Mourabitounes.
Jean-François Pien
Français, 46 ans. Entraîneur-joueur à Sens (1992-1998), il entraîne ensuite les jeunes pousses du PSG (U15 et 17 nationaux, 1998-2001), puis prend la destinée de Cholet (CFA 2). Après un exil au Qatar (plusieurs titres nationaux en U17 et U15), puis aux Émirats arabes unis, il rentre en France où il dirige tour à tour les centres de formation de Reims et de Nîmes, où il entraine également les équipes réserves. En fin de contrat en juin dernier chez les Crocos, il quitte le club du Gard pour divergences d’opinions. Libre.
Tom Saintfiet
Belge, 40 ans. Ancien défenseur passé par Louvain (deuxième division), Oug God et Boom (troisième division), il exerce trois ans dans des clubs amateurs belges avant de s’exiler au FC Satellite d’Abidjan (1999-2001). Voyage ensuite aux îles Féroé, au Qatar, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Finlande, avant de devenir sélectionneur de la Namibie (2008-2010) où il s’illustre avec deux résultats nuls face à l’Angola et l’Afrique du Sud. Malgré 34 rangs gagnés au classement Fifa, il part alors au Zimbabwe sans succès (2010), puis au Shabab el-Ordon, où évolue alors Ulrich Kapolongo (2011), en Éthiopie (2011), au sein du club tanzanien de Young Africans, au Yémen et au Malawi, où il avait signé un contrat de deux mois en juillet dernier. Libre.
Ivica Todorov (photo 7)
Franco-Serbe, 63 ans. Ancienne étoile montante du football yougoslave, Todorov fait une carrière modeste après son départ de l’Étoile rouge de Belgrade. Termine sa carrière en Belgique avant de devenir entraîneur-joueur en France. Prend ensuite les rênes de Limoges (deuxième division) qu’il sauve de la relégation en 1986. Après des passages à Dijon et Brest, il pose ses valises au Maroc (vice-champion 1998), aux Émirats arabes unis, en Arabie saoudite (vainqueur de la Coupe d’Asie des vainqueurs de Coupes 2001), en Tunisie (vice-champion 2002), au Gabon (champion 2007) et en Égypte. Il a également dirigé les Étalons du Burkina puis les Diables rouges (élimination au goal-average pour la CAN 2010), où il a lancé plusieurs joueurs actuels : Ndinga, Oniangué, Tchilimbou, Douniama. En somme, il connaît bien la maison. Libre.
Hubert Velud
Français, 54 ans. Gardien du Stade de Reims entre 1979 et 1989, il se fait un nom comme entraîneur en remportant le championnat de National 2002 avec Clermont, puis avec une huitième place de Ligue 2 avec Créteil. En 2009, il devient sélectionneur du Togo, avec lequel il vivra le sanglant épisode de la fusillade de Cabinda. S’ensuit un retour à Créteil marqué par une agression dont est victime le technicien français. À l’issue de la saison, il passe du Maroc (Agadir) à la Tunisie (Stade Tunisien). Arrivé en 2012 à l’ES Sétif, il est sacré champion d’Algérie et coach de l’année en mai 2013, avant d’être viré en septembre dernier. Libre.
Bassam Zebib
Libanais, 46 ans. S’il est difficile de retrouver une trace de sa carrière de joueur, on peut trouver sur son site internet un long CV d’entraîneur, qu’il est malheureusement difficile de vérifier. En France (clubs amateurs de divisions inférieures) comme en Afrique (Togo, Burundi, Guinée) ou au Liban, dont il aurait été directeur technique national entre 2003 et 2004. Actuellement entraîneur d’un club français non précisé sur son CV. Prometteur…
Deux profils ont été impossibles à établir : Manuel Carvalho et Kemby Moudzele. Notons que les 29 portraits sont affichés dans l’ordre alphabétique.