![]() Entreprises publiques : la Sonahydroc parmi les sociétés bien cotéesMardi 10 Novembre 2020 - 16:07 Les actions menées par l’actuel comité de gestion auraient non seulement augmenté le rendement de l’entreprise mais également amélioré la situation sociale de son personnel.
Des agents et cadres de la Société nationale des hydrocarbures du Congo (Sonahydroc) dénoncent des actes de sabotage de certaines personnes internes à cette entreprise, qui tendent à saper les actions menées par le comité de gestion à la tête de leur société. Dans leur réaction contre ces actions qu’ils pensent de nature à annihiler les efforts de redressement de leur entreprise et à bloquer son développement, ces agents et cadres de la Sonahydroc indiquent, en effet, que cette société est aujourd’hui parmi les entreprises publiques les mieux gérées. « La Sonahydroc avait beaucoup de dettes estimées à plus des douze millions de dollars américains. Aujourd’hui le personnel respire parce que le comité de gestion conduit par l’Ingénieur Hubert Miyimi Muwawa a payé la grande majorité de ces dettes dont le reliquat est maintenant évalué à près de deux millions de dollars seulement, en plus de l’apurement des plusieurs mois d’arriérés de salaire laissés par ses prédécesseurs », a expliqué un cadre de la Sonahydroc sous le sceau de l’anonymat. Une campagne de diabolisation Dans les explications sur le climat que cette situation tend à imprimer au sein de la société, ces agents et cadres de la Sonahydroc dénoncent cette campagne de diabolisation menée à partir de l’interne, en vue de faire échouer l’équipe à la tête de la Sonahydroc dont la gestion « orthodoxe » fait de l’Ir Hubert Miyimi et Louis Gérard Vununu di Makwala des managers les mieux cotés du pays. Relevant les mérites du comité qui dirige la Sonahydroc dont l’augmentation du rendement de la société et l’amélioration des conditions de vie et de travail de son personnel, ces agents et cadres notent que le personnel de la Sonahydroc se reconnaît dans l’actuel comité de gestion. « Les actions menées sont palpables. Mais les mécontents sont contre l’actuel comité de gestion parce que ce dernier a bloqué certaines ouvertures qui leur permettaient de s’approvisionner impunément dans les caisses ou sur le compte de l’entreprise », a indiqué un directeur à la Sonahydroc, qui salue les efforts fournis par la direction générale encadrée par le conseil d’administration. « Depuis qu’il est à la tête de la Sonahydroc, le directeur général Hubert Miyimi et son adjoit, Louis Gérard Vununu, ne cessent de fignoler des stratégies pour matérialiser la vision du chef de l’Etat dans notre société », avait indiqué le président de la délégation syndicale de cette société, Baba Mutima Mbo, à nos confrères de Cas-info, abondant dans le même sens que ses pairs. Tout, a-t-il indiqué, était à l’arrêt à son avènement en juillet 2017. La société était presque en faillite et le personnel avait accumulé plusieurs mois d’arriérés de salaires. Son combat a sorti la Sonahydroc d’un gouffre financier. Cette réaction du personnel de la Sonahydroc a donc coupé court à ces actions menées depuis un certain temps par des personnes internes qui s’évertuent à donner une image négative de cette entreprise publique et à saper la réputation des membres de son comité de gestion, alors que la société est déjà sortie du gouffre dans lequel elle se trouvait à la venue de ses actuels dirigeants. « Nous pensons que si tout le personnel met de côté des intérêts égoïstes et appuie les actions menées pas l’actuel comité de gestion, la Sonahydroc va définitivement sortir de la liste des canards boiteux dans laquelle se trouve les entreprises publiques du Congo », ont souligné ces cadres et agents de la Sonahydroc, qui salue ainsi ces efforts que certains tendent à annihiler. Lucien Dianzenza Légendes et crédits photo :Le DG de la Sonahydroc, l'Ir Hubert Miyimi/DR Notification:Non |