Jeux africains de Brazzaville 2015 : les journalistes des sports édifiés sur les règles de jeu des trois fédérations

Le Cnosc  souhaite que les journalistes couvrent les évènements sportifs  selon les règles de l’art en privilégiant surtout les valeurs de paix et de fair-play pendant les grandes compétitions comme les Jeux africains.

« Il vous revient de prouver sur le terrain les enseignements  et sages conseils reçus par la recherche constante de la paix et du fair play autour desquels vous devez mobiliser tout le peuple congolais », a souhaité Jean Paul Ngaloua, secrétaire général du Cnosc au nom de son président.

Visiblement, cette formation  venait à point nommer en ce sens qu’elle se tenait à un mois des Jeux africains. Elle a été initiée par le Cnosc pour renforcer des capacités professionnelles des hommes des médias afin de leur permettre d’assurer avec  maîtrise et efficacité le traitement des informations liées aux 11^es Jeux africains que Brazzaville va organiser du 4 au 19 septembre.

Selon le Cnosc, les thèmes qui ont été développés les 4 et 5 août contribueront à augmenter l’efficacité de la communication des journalistes sportifs congolais. Pendant deux jours, les journalistes des sports ont  amélioré leur savoir sur  le rôle des médias dans la promotion des valeurs olympiques. Ghislain Joseph Gabio, rappelant  aux journalistes les valeurs olympiques notamment plus vite, plus haut et  plus fort, leur a démontré à quel point ces valeurs  représentaient l’athlète dans toutes les dimensions. Car il lui donnait le gout de gagner par l’effort.  Sans la presse, les grand rendez-vous n’ont pas d’éclat. C’est à ce juste titre que Georges Éboué s’est appuyé sur l’approche et couverture d’un grand évènement sportif comme les Jeux africains pour  rappeler les premières  missions d’un reporter  pendant la couverture de l’évènement.  Le reporter, dit il, doit s’armer de toutes les informations sur la compétition et ce grâce à ses recherches pour informer.  

Les journalistes des sports  ont salué l’initiative du Cnosc. Ils  ont dans leur motion de remerciement souhaiter voir cette structure multiplier  ces rendez vous du donné et du recevoir.  Ils n’ont pas eu tort, car les interventions des dirigeants des trois fédérations nationales leur ont permis d’élever leur niveau de connaissance non seulement  sur le jargon mais aussi sur les lois et règles de jeu de  badminton, l’escrime et  le tennis.  

 Un long débattu avec le président de la Chambre de concialiation et d’arbitrage sur le sport (CCAS), Corneille Moukala Moukoko, sur les objectifs de cette juridiction à caractère sportif leur a aussi permis de  connaître les mobiles de sa création et ses objectifs.  le président de la CCAS,  insistant sur les prérogatives  dévolues à cet organe chargé de trancher les litiges au plan national ,  a souhaité que tous dossiers relatifs au sports congolais passent d’abord par cette chambre avant que les plaignants n'aient recours à une juridiction suprême : le Tribunal arbitral du sport.