Périodique : « Le parlementaire » vient de meubler la fresque médiatique congolaise

La présentation officielle du magazine « Le parlementaire » a eu lieu le 10 décembre au Palais du parlement de Brazzaville en présence des ministres de la Communication et de la Promotion de la femme, Thierry Lezin Moungalla et Jacqueline Lydia Mikolo, du président du Conseil supérieur de la liberté de communication (CSLC), Philippe Mvouo, ainsi que des responsables des deux chambres du parlement.

A en croire la directrice de publication, Vanessa Obambi, son magazine, créé il y a deux ans, est un trimestriel dont l’ambition, a-t-elle indiqué, est de se transformer en un mensuel. Edité par Mighy communication, « Le parlementaire » se veut être un trait d’union entre les élus du peuple et leurs mandants, et a bâti sa politique éditoriale sur la thématique : « Pour une institution au service des peuples ».

Ce magazine de 66 pages en quadrichromie s’appuie sur une communication iconographique pour créer une corrélation cohérente entre les écrits et les images. De nombreux parlementaires présents à la cérémonie et  abordés par la presse ont témoigné que « Le parlementaire » est une véritable vitrine de leurs activités.

La directrice de publication a édifié le public sur toute la philosophie de son journal qui se résume à faire comprendre au public le travail réalisé par les parlementaires consistant aussi bien au vote et à l’élaboration des lois qu’au contrôle de l’action gouvernementale.

La ministre de la Promotion de la femme a salué le courage et la détermination de la directrice de publication. Elle lui a promis du soutien multiforme avant d’exhorter les autres femmes à s’engager dans ce genre d’initiatives chacune dans le domaine qui est le sien.

De son côté, le ministre de la Communication et des Médias s’est dit comblé de la naissance de ce journal qui va meubler la fresque médiatique congolaise. Il a invité la direction du magazine à réfléchir sur la possibilité de créer une version numérique pour s’arrimer aux exigences du 21^e siècle et étendre l’audimat du magazine.  

Le président du CSLC s’est dit être comblé par la parution de ce magazine dont il est parmi les géniteurs du fait d’avoir examiné presque en premier, en tant qu’autorité administrative à être sollicitée dès la création d’un média, les textes fondateurs.