Feux de Brazza : les festivaliers attirés par le double stand des Dépêches de Brazzaville

Jeudi 7 Août 2014 - 13:15

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Les Dépêches de Brazzaville sont présentes au festival Feux de Brazza qui leur sert d'espace de promotion et de visibilité. Deux stands y sont placés : l’un propose les oeuvres du musée du Bassin du Congo, l’autre est destiné à la vente des journaux. Petit détour.

 « Nous représentons le musée du Bassin du Congo dans les œuvres d’art, de musiques traditionnelles du Bassin du Congo. Nous avons des messages, des sonas, des guitares traditionnelles, des gants, des sanzas…Bref, on a toute sorte d’instruments traditionnels de musique », a déclaré Hélène Ida Ntsiba, chef de service de ce musée. À ses côtés, Astrid Balimba, désormais rompue à cette tâche après son baptême de Bahia au Brésil où la galerie du Bassin du Congo avait exposé ses oeuvres. Ici au village de Feux de Brazza, les visiteurs ont mille moyens de se replonger dans le monde traditionnel. « Il y a plein des visiteurs qui viennent ici. C’est d’ailleurs le stand le plus visité de ce site, parce que nous sommes les seuls à exposer les instruments des musiques traditionnelles. Nous présentons aussi nos catalogues du musée sur le Kiébé-Kiébé et sur le peintre de tous les temps, Gotène », a reconnu Hélène Ida Ntsiba.

Lieu de détente et d'échanges, le festival est aussi un lieu de recherche d'informations. Ceux qui s'y trouvent apprécient bien l'initiative des Dépêches de Brazzaville qui leur proposent les quotidiens dans lesquels on peut aussi puiser des informations sur l'évènement culturel du mois. Journaliste de formation, formateur des journalistes et aujourd'hui ministre de la Culture et des arts, Jean-Claude Gakosso, a visité le stand le premier jour de son ouverture.  

Guylin Ngossima-Delus, attaché commercial à la direction de diffusion, et Irin Maouakani disent représenter Les Dépêches de Brazzaville dans le cadre de la diffusion du journal. Depuis que ce stand a été ouvert, les gens viennent assez nombreux à tel point que les journaux sont très bien vendus. Il y a un très bon contact entre les festivaliers et le stand des Dépêches de Brazzaville, ainsi que les habitants du septième arrondissement de Brazzaville, Mfilou. Certains viennent pour acheter, d'autres pour se renseigner, avouent les agents des Dépêches de Brazzaville commis à l'animation de ce stand. 

Bruno Okokana

Légendes et crédits photo : 

Photo : le stand du musée du Bassin du Congo et des Dépêches de Brazzaville